Poème Kabyle

Mon poème prélude en F puis vient T suivi de I M clôt donc son nom (Fatima)

À cause d’elle mon cœur est agité repu d’épreuves Je redoute, hommes, de me trouver sur son chemin

Elle seule est à mes yeux La beauté sans pareille Ah! La boire comme une potion (litt. la manger comme un remède)

Mort maudite sois-tu Qui dévaste tout le pays Et emporte les meilleurs

Hommes ou femmes l’élite meurt Et il reste la lie

La nouvelle est arrivée insolite Sages souvenez-vous Ouelhadj est mort et j’en ai grand pitié

Textes recueillis et traduits de M. Mammeri, Les Isfra, poèmes de Si Mohand

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