Mon poème prélude en F puis vient T suivi de I M clôt donc son nom (Fatima)
À cause d’elle mon cœur est agité repu d’épreuves Je redoute, hommes, de me trouver sur son chemin
Elle seule est à mes yeux La beauté sans pareille Ah! La boire comme une potion (litt. la manger comme un remède)
Mort maudite sois-tu Qui dévaste tout le pays Et emporte les meilleurs
Hommes ou femmes l’élite meurt Et il reste la lie
La nouvelle est arrivée insolite Sages souvenez-vous Ouelhadj est mort et j’en ai grand pitié
Textes recueillis et traduits de M. Mammeri, Les Isfra, poèmes de Si Mohand