Pourquoi il n’y a pas de statues en Hespérie

 

?Pourquoi il n’y a pas de statue en Hespérie??
 
Si l’hellénisme et les religions de l’antiquité tiennent tout leurs origines du Couchant (Maghreb), si la demeure terrestre des Dieux se trouve en Hespérie (Maghreb), pourquoi cette région est-elle vide de leur statue?
 
La grande question que se pose les néophytes est tout à fait légitime et rappel à quel point nous ne sommes pas la région du monde la plus bâtisseuse de monument aux Dieux, pas même à notre époque barbare (moderne) où les moyens rende facile la construction d’une mémoire taillé dans la roche. On ne peut pas utiliser l’argument des invasions arabo-islamiques, puisque cette dernière a bien toléré les statues égyptiennes.
 
En vérité la raison d’absence de statue n’a rien à voir avec notre capacité à en édifier, mais plus tôt son utilité. Les sculpteurs de l’antiquité édifiaient des statues pour représenter les Dieux, afin d’avoir un vecteur physique, une direction vers laquelle les humains pourraient leur voyer un culte. En Hespérie ce n’était pas le cas, les humains de la région sont les descendants des Dieux et on vécu parmi eux pendant des millénaires avant leur départ, au pays des Dieux les gens n’ont pas besoin d’édifier de statue, les Dieux vivent parmi eux et se manifestent constamment par des prodiges. Les statues sont une pratique cultuelle propre aux peuples vivant loin du pays des Dieux, un moyen de se rappelé d’eux malgré le temps qui passe, à l’inverse l’Hespérie (Maghrébin) n’a pas besoin de cela, sa vie et sa mort porte la marque des Dieux, tout les éléments qui l’entour lui rappel sans cesse le sacré et il est de la race des Dieux, il est d’une nature profondément pieuse.
 
L’exemple moderne le plus proche du culte des statues, c’est les photos, elles nous permettent de ne pas oublier les anciens et de connaître des gens importants vivants très loin de chez nous.
Bien sur avec le temps les gens ont oublié pourquoi on vouait un culte autour des statues, ce n’est pas la statue en elle-même qui était adoré, mais ce qu’elle symbolise, la Divinité, l’élément, l’essence immortelle, de la même façon que personne n’idolâtre une photo qui n’est qu’un boue de papier, mais la personne photographié qu’on se refuse à oublier malgré la distance.

 

Bien sur cela n’explique pas les gravures et les statues retrouvé un peu partout en Libye, néanmoins il faut remarqué que plus on s’approche de l’Atlantide (autre nom de l’Hespérie), moins il y a de représentation divine et plus on s’en éloigne, plus les représentations augmente, il n’est donc pas étonnant de retrouver peu représentation dans le Sahara, une proportion moyenne en Egypte et en Hellénie, puis un très grand nombre en Asie. Plus nous sommes éloigné du lieu où vivent les Dieux sur Terre et plus le nombre de représentation augmente, aujourd’hui les représentations architecturales sont très nombreuse en Europe, surtout en Europe du Nord et en Amérique, ceci est le résultat d’un manque spirituel, d’un vide civilisationnel à combler.

 

En effet si nous considérons l’éloignement avec les Dieux comme un facteur d’athéisme, de nihilisme et d’oublie des Dieux, on peut remarqué que ces phénomènes ont lieu dans les pays très éloigné de l’Hespérie, il n’est pas étonnant que l’athéisme moderne et la marxisme est tout particulièrement touché les pays barbares du Nord de l’Europe et la Russie, l’éloignement avec la terre sacrée des Dieux agit comme un parasitage de la spiritualité. Il sera toujours plus dur à un barbare nordique de croire aux Dieux qu’à un méditerranéen, c’est pour cela que les peuples éloignés des Dieux ont besoin de preuve physique, de chose tangible, de représentation architectural, d’un livre sacré, d’idoles pour canaliser leur foi et de tout ce qui peut permettre à se rappelé des Dieux. La Civilisation étant le fait des Dieux qui enseigna aux Libyens puis aux Méditerranéens les arts et les techniques, le reste du monde éloigné en est privé, l’expansion des peuples méditerranéens va répandre l’agriculture, l’architecture, la sagesse et le savoir. Pourtant pas au point de faire du reste du monde, des régions aussi civilisé que la Méditerranée, seul l’Asie aura accueillit favorablement cette expansion. Aujourd’hui à notre époque dominé par les Barbares (Anglosaxons), les peuples autrefois privé de civilisation se sont vengé, comme un enfant que l’on a privé de chocolat pendant une longue période, ils sont devenu boulimiques de savoir et de culture sacré, ce qui explique la grande présence de représentation hellénique dans ces pays, comme pour combler un vide, l’absence des Dieux. Aujourd’hui à voir le nombre de représentation de Dieux dans le monde, on pourrait croire qu’Athéna et Zeus sont des Divinités venu d’Europe hyperboréenne, pourtant il n’en est rien, Elle vient de Tritonie (Tunisie) et Lui d’Ammonia (Siwa) en Egypte. En bref c’est dans les pays les plus éloignés des Dieux qu’on voit des représentations et plus l’éloignement est grand, plus les monuments en leur honneur sont grands et nombreux.

 

A l’inverse pour les peuples de l’Atlantide, aucune représentation n’est nécessaire, ils sont connecté avec le divin constamment, le simple fait de vivre en ces terres peut rendre une personne profondément croyante et pieuse. Pour reprendre les termes de Pline l’Ancien, “en observant l’Atlas, on est prit d’une terreur religieuse”, en effet l’Atlas est le parfait exemple de statue naturelle ne nécessitant aucun concourt humain, le Dieu géant Atlas a été transformé en pierre par Persée avec la tête de Médusa la gorgone, les montagnes est son corps et les forêts ses poiles et sa barbe, les gens adorent dont cette immensité montagneuse qu’est l’Atlas même si le terme de montagne n’est pas exacte, l’Atlas est donc le lieu de culte le plus grand de la Terre.

 

Pourquoi donc édifier une statue à Atlas, alors que nous vivons sur un Dieu transformé en statue par le regard de Méduse?

 

Anzar (Poséidon) se présente même aux humains, surtout aux femmes, dans un pays où les Dieux font parti du quotidien, les représenter n’a aucun sens, ils vivent parmi nous et l’enfer et le paradis se trouve aussi chez nous (voir l’article sur Akauch).

 

En conclusion nous pouvons affirmé que nos ancêtre n’avaient pas besoin d’édifier des statues pour adorer les Dieux, ils adoraient les Dieux en personne et aujourd’hui même si l’islam a interdit tout ces cultes, ils continuent de ressentir en eux une foi, une proximité avec le divin, qu’aucun autre peuple du monde, ne pourra jamais ressentir. Aujourd’hui l’Atlantide devrait être le plus grand lieu de pèlerinage du monde, l’endroit primordial pour se ressourcer et se reconnecter avec le divin, malheureusement au lieu de ça des fausses religions se sont édifier un peu partout dans le monde comme à La Mecque en Arabie et Jérusalem en Phénicie pour instrumentaliser l’héritage religieux atlante et faire du profit avec l’amour des Dieux.

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