Nouvelle arme des eurocentristes la polychromie moderne

 

La propagande eurocentriste souhaite voir notre race méditerranéenne effacée des libres d’histoire et de la génétique à tout jamais, heureusement il ne suffit pas de balayer la réalité raciale à coup de théorie humaniste et aryanisten; car le groupe génétique E1B des Berbères vient apporter une donnée non prise en compte, celle de l’origine libyenne (nord-africaine) de certains peuple d’Europe. Bien sur ces historiens barbares singent les grecoromains dont ils n’ont hérité que du titre et oublie de mentionner les invasions barbares aux cours des siècles qui ont défiguré le visage de l’Europe pré-indo-aryenne à tout jamais.

Depuis l’époque colonial nous connaissons la propagande eurocentriste qui veut s’imposer au monde entier comme les fondateurs de la Civilisation et le centre du monde, pour se faire ils vont bien sur dépêcher tout une légion de spécialiste en anthropologie qui vont se faire un plaisir d’étudier le monde méditerranéen, tant tôt en le valorisant, tant tôt en lui donnant une origine raciale indo-aryenne et bien sur caucasienne car avoir l’épiderme mate était encore à l’époque un signe d’infériorité social. Alors comment nos maîtres, ceux qui nous ont apporté la Civilisation en Europe pourrait être de peau cuivré? Voyez il est évident que cette période d’orientalisme, d’étude de l’antiquité, en passant par l’archéologie en Grèce et en Egype a permis à beaucoup de spécialiste de devenir des porte-paroles de la désinformation eurocentriste, au point qu’aujourd’hui on nous parle de Pharaon à yeux bleus et de Guanches blonds aux yeux bleus, tout ceci pour renforcer l’idée d’une civilisation caucasienne barbare au coeur de la Méditerranée, de l’Atlantide qui serait en vérité les habitants d’origine, remplacé plus tard par de vilains mulatres mates et/ou négroïdes, mais il n’en est rien, nos nations libyennes ont toujours été présente en ces terre, des peuples du soleil à la peau mate et n’ont rien à voir avec la race barbare caucasienne et la race nigérienne dite négroïde. Bien sur pour asseoir leur idée, il fallait des preuves, hors tout ce qui a été découvert renforce l’idée de grande civilisation proto et préhistorique qui annule la thèse d’une origine arabe, juive ou indoaryenne, pourtant ils vont tout faire pour imposer leurs idées, quitte à falsifier les découvertes archéologiques. Ici la question qui nous intéresse c’est la coloration des statues antiques, on y voit constamment des personnes haute en couleur, mais toujours blondes ou rousses, comme si Rome était un repaire d’irlandais. Bien sur ils brandissent le sceptre de la science en disant « ceci est scientifiquement prouvé », mais rien en réalité ne peut confirmer la véracité de ces couleurs, il est bien impossible de repeindre une statue qui a perdu ses couleurs à travers le temps. La pigmentation des statues est une nouvelle technique utilisé par les eurocentristes pour faire valoir leurs origines grecoromaine, hors nous le savons, les Méditerranéens ont toujours maudit les Anglosaxons, les nommant d’ailleurs « Barbares » car c’est leur nom, ils ont des coutumes sauvages qui n’ont rien à voir avec la culture méditerranéenne et racialement il n’y a aucun rapprochement à faire entre un grecoromain et un scandinave. Le problème c’est que nous vivons à une époque où les Libyens (Berbères) ont été pervertit par la religion des Arabes, ignorant leurs origines, se prenant tant tôt pour des Arabes car être de race sémite conféraient autrefois un statut social noble et tant tôt pour des sémites en se déclarant descendant de Mazigh (patriarche des Cananéens et descendant de Noé). Ensuite les Romains sont devenus chrétiens, se sémitisants, puis diabolisant leurs anciennes croyances et changeant de nom pour ne plus être identifié au polythéisme hellénique, devenant ainsi les Latins. Pareil pour nos frères Hellènes qui ont renoncé à leurs croyances, subissant la christianisation, changeant de nom pour marquer leur changement d’identité, se nommant aujourd’hui Grecs car selon l’ancien testament (la bible) le terme « hellène » veut dire « mécréant ». Les Egyptiens eux ont gardé une certaine fierté, mais sont condamné à se dire « Masri » en arabe et à regarder leur divine architecture comme un reste de vieilles babioles qu’on met au grenier par manque de place. Il faut donc comprendre que dans un contexte de déconfiture civilisationnelle, les civilisés d’autrefois ne sont plus assez unies, ne représente plus une race homogène et forte avec une ossature étatique qui les rassemble, et surtout pour défendre leur patrimoine culturel qui tombe aujourd’hui entre les griffes de musée barbares (anglosaxons).

Non, les statues de marbre grecques et romaines n’étaient pas blanches. Un archéologue a produit des répliques grandeur nature et peintes avec les mêmes formes et motifs. Mais les couleurs flamboyantes qui les recouvrent ne font pas l’unanimité.

Les statues grecques n’étaient pas blanches. Pas toutes, du moins. C’est un fait établi de longue date, qui réunit la plupart des scientifiques et historiens, mais qui reste souvent méconnu du grand public, auquel on présente plus souvent une Grèce idéalisée rayonnant d’une blancheur immaculée. Depuis plus d’une trentaine d’années, l’archéologue allemand Vinzenz Brinkmann scrute, avec des techniques de plus en plus perfectionnées, les traces laissées par les pigments sur les statues de marbre, dans l’intention de leur rendre leur lustre d’antan. Dans une exposition qui voyage à travers le monde depuis 2003, Gods in Colour, Brinkmann offre en spectacle des reproductions de statues antiques en taille réelle et avec les couleurs d’origine – c’est du moins ce qu’il affirme. Car les couleurs des statues présentées dans la vidéo ci-dessous ne font pas l’unanimité chez les scientifiques.

 

 

Rayons X, infrarouges et ultraviolets.

Les réalisations en marbre sont parmi les témoignages les plus précieux des civilisations greco-romaine : bien que les grecs aient adopté la sculpture du bronze dès le 5e siècle avant JC, les statues qui ont traversé les âges sont surtout leurs répliques romaines en marbre. Le marbre a en effet un avantage de conservation certain : contrairement au bronze, il ne peut être refondu pour fabriquer armes et armures en cas de siège ou de pénurie. Et, comme bien souvent, ce sont les nouvelles technologies qui permettent d’apposer un regard neuf sur des reliques séculaires. Cependant, dès la Renaissance, lorsque les statues grecques et romaines sont revenues au centre de l’attention, quelques rares traces de peinture étaient déjà visibles à l’œil nu – et certaines d’entre elles le sont d’ailleurs toujours.

Pour rappeler les couleurs, vieilles d’environ 2.500 ans pour certaines, Vinzenz Brinkmann a dû employer toute une batterie d’instruments parmi lesquels lampes chargées à haute intensité, lampes à ultraviolets (UV) et à infrarouges. En effet, si regarder à l’œil nu peut révéler quelques traces de peinture, il faut aussi utiliser les ultraviolets, qui révèlent les motifs en rendant fluorescents certains composés organiques contenus dans les pigments. Pour retrouver la couleur, il faut cette fois combiner rayons X et infrarouges, dont les longueurs d’ondes, de part et d’autre du spectre du visible, sont absorbées et reflétées différemment par chaque pigment, d’après un comportement que les scientifiques connaissent extrêmement bien. Il suffit alors d’associer chaque spectre à un pigment, chaque pigment à une couleur, et l’énigme est résolue. Les statues ont ensuite été moulées, reproduites à l’identique et peintes à la main.

Si les Dieux hellénistiques réalisés par Vinzenz Brinkmann ne soulèvent pas l’unanimité, c’est surtout en raison de l’intensité de leurs couleurs. « Le travail du point de vue de la localisation [des motifs] est remarquable, déclare Myriam Serck-Dewaide, de l’Institut royal du Patrimoine artistique à Bruxelles. Mais par rapport au rendu des couleurs, les reconstitutions sont mauvaises. » D’après elle, les aplats et les couleurs criardes des répliques ne correspondent pas à la grande maîtrise de la polychromie dont témoignent les fresques, vases et autres œuvres d’art du monde hellénique. Avec les moyens actuels, on ne peut retrouver la qualité esthétique d’un objet sans modèle original intact, comme on a pu le faire en Egypte : « C’est également très vif , mais c’est aussi très raffiné et très beau”, continue Myriam Serck-Dewaide. De plus, la couleur apparente d’une statue « ne repose pas uniquement sur la nature des pigments, il faut aussi prendre en compte les liants et la présence éventuelle d’une sous-couche », précise Philippe Walter, de l’Université Pierre et Marie Curie (UPMC). « D’autres recherches ont démontré que la couleur n’était pas uniforme : en mélangeant plusieurs pigments, les Grecs pouvaient générer des phénomènes d’ombre et de lumière. »

D’un point de vue culturel et subjectif, certains restent attachés aux statues immaculées que l’on connaît et admire : accepter l’idée qu’elles étaient colorées impliquerait de repenser la décoration de nos bâtiments néoclassiques les plus célèbres, de la Maison Blanche au Panthéon, mais aussi la manière dont nos cathédrales, qui rayonnaient autrefois de mille feux, ont été rénovées. « J’ai toujours trouvé la sculpture assommante, mais au moins les bronzes ont l’air de quelque chose, tandis que les bustes de marbre ressemblent toujours à un cimetière » écrit Ernest Hemingway dans L’Adieu aux armes. S’il avait pu visiter l’exposition Gods in Colour, l’ancien correspondant de guerre américain aurait peut être changé d’avis sur la sculpture.

Bien sur au nom de quoi les bustes de marbres sans couleur serait « assommant » et ressembleraient à des cimetières? Au nom de la barbarie, car en effet un tel raisonnement ne peut venir que de l’esprit déviant d’un barbare nordique qui ne comprend rien au Divin et à l’Art dont il est dépourvu. Maintenant il faut surtout retenir de ces expériences scientifiques, qu’il s’agit de copie romaine des vrais statues de Grèce, donc combien même ces statuts seraient bien blonde ou rousse, elle n’en reste pas moins des copies à une époque où Rome croulait sous les influences et les invasions barbares venu de tous les coins de l’Europe du Nord. 


Source :

http://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/archeologie/quelle-etait-la-veritable-couleur-des-statues-de-l-antiquite_104217

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