Nos ancêtres sont enjuivés et adamisés malgré eux

 

Nos ancêtres ne sont aujourd’hui plus de ce monde pour témoigner, mais si ils étaient vivants ils maudiraient Ibn Khaldoun et tous les historiens arabes qui ont cherché désespérément à leur donner une origine juive. Mais ils maudiraient aussi ceux qui essayent de leur donner une identité chrétienne ou athéiste, car malgré que les Libyens furent convertis par différents envahisseurs, le pays profond garda longtemps ses croyances libyques ancestrales. Ici nous vous proposons d’observer l’exemple de la tribu des Nefzawas pour comprendre la manipulation perfide de notre identité, et ainsi vous rappelez ô combien le péril adamique est bel et bien toujours présent depuis des siècles à aujourd’hui avec le néo-punisme.

 

?Voici un exemple simple de la désinformation historique?

 
 
 

Retrouvez ces informations sur le lien ci-dessous :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Nefzaouas

 

“Selon Ibn Hazm la confédération des Nefzaouas avait pour ancêtre un personnage originaire du Yémen dont l’épouse était berbère.”

 
Ibn Hazm n’est pas à son premier essai pour ce qui est de la propagande adamique éhontée.
 
“Selon l’historien Ibn Khaldoun, à la veille de la conquête musulmane du Maghreb, plusieurs tribus berbères pratiquaient le judaïsme”
 
Ibn Khaldoun va encore plus loin en niant la religion des Libyens, préférant mettre en avant une minorité de tribus juives. En effet les peuples libyens sont enjuivés de force par les historiens arabes et ce fut à l’époque une chose positive. Car il valait mieux être juif que libyque et sous l’islam il faisait bon être juif.
 
« Une partie des Berbères professait le judaïsme, religion qu’ils avaient reçue de leurs puissants voisins, les Israélites de la Syrie. Parmi les Berbères juifs, on distinguait les Djeraoua, tribu qui habitait l’Auras et à laquelle appartenait la Kahena, femme qui fut tuée par les Arabes à l’époque des premières invasions. Les autres tribus juives étaient les Nefouça, Berbères de l’Ifrikïa, les Fendelaoua, les Medîouna, les Behloula, les Ghîatha et les Fazaz, Berbères du Maghreb-el-acsa ».
 
Ici le fabulateur Ibn Khaldoun persiste et signe en affirmant que Dihya (Kahina) était juive, un mensonge réutilisé aujourd’hui par les juifs pour instrumentaliser la cause libyenne via leurs pantins politiques du mouvement néo-punique dit “amazir”.
 
“Dans d’autres chapitres de son Histoire des Berbères, Ibn Khaldoun traite de la résistance de la Kahena à la conquête arabe ou de l’histoire des tribus citées mais sans plus mentionner leur religion.”
 
On observe ici une volonté de censurer l’identité libyque forte de certaines tribus qui n’étaient pas adamique (juives, chrétiennes ou musulmanes).
 
“Mais d’après Gabriel Camps, les deux tribus berbères, Dejrawa et Nefzaouas, étaient de confession chrétienne avant l’arrivée de l’Islam.”
 
Ici on retrouve une vision française de Gabriel Camps, une volonté de christianiser nos peuples, car c’était à une époque où il fut bon d’être chrétien sous un régime judéo-chrétien. On retrouve aussi ce type de comportement à notre époque avec l’influence de l’athéisme où chacun essaye de prouver que nous étions des peuples “libres”, autrement dit sans foi ni religion.

 

 

Conclusion :

Nous avons observé ensemble un exemple de perversion historique, une véritable aliénation de notre identité religieuse et la censure quasi systématique au sujet de nos croyances. Quand ce n’est pas l’arabe qui essaye de nous donner une origine juive, c’est le barbare qui essaye de nous donner une origine chrétienne et finalement nous arrivons à une époque où nous avons des humanistes (francs-maçons) qui œuvrent parmi nous pour donner à nos peuples une identité athéiste.

En vérité l’Atlantide (Maghreb) comme tout le reste de la Libye n’a jamais été christianisé ou judaïsé avant l’arrivée de l’islam, mais quelques tribus très minoritaires l’ont été pour des raisons politiques et d’alliances avec Byzance ou les Vandales. Ce sera pareil avec l’arrivée de l’islam, cependant il faut savoir que les Libyens ont apostasié l’islam onze fois et malgré qu’un syncrétisme libyco-islamique fut inventé pour devenir la nouvelle religion de nos peuples, ils ne furent jamais totalement soumis à l’islam, bien au contraire. Nos croyances sont restées très vivace jusqu’à l’arrivée de la barbarie (modernité) qui imposa la sédentarisation forcée et l’uniformisation jugulée par l’islamisation.

 

La Reine Dihya (la Kahina) croyait aux Dieux libyques de ses ancêtres.

 

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