Memnon le Roi des Ethiopiens

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Memnon de race méditerranéenne (libyen, éthiopien, hellène), en face de lui un mercenaire nègre rallier pour servir le Royaume éthiopien. On note la grande différence raciale et cela démontre bien que les Hellènes savaient faire la différence entre un éthiopien et un nègre, sinon Memnon aurait les mêmes traits de visage.

 

L’énigme de Memnon est un défit pour tout mythologue et comparateur que nous sommes, car la mythologie comparée reste un défit titanesque car chaque théologie se contredis, émet des versions différentes et la confusion se multiplie quand nous parlons de joindre des croyances de différent peuples. Néanmoins en ce cas précis du Roi Memnon le défit est idéologique, il existe une véritable volonté tant des instances scientifiques nordiques, que des mouvements négrocentristes suprématistes nègres de déformer la vrai identité de Memnon. Ce grand personnage illustre étant un grand personnage de la mythique guerre de Troie se retrouve instrumentalisé par ceux qui souhaite refaire l’histoire à l’image du monde moderne barbare, qui n’est autre qu’une “barbarie sophistiquée” mélangeant le leadership nordique anglosaxon avec les peuples nègres tout en ayant les habits de la Civilisation, une fausse passion pour la culture latine. Ce monde est le monde actuel dans lequel nous vivons et aujourd’hui plus que jamais pour intégrer les communautés nègres d’Amérique au grand leadership anglosaxon, ils ont besoin de héros nègres, de personnages illustres nègres pour que la jeunesse négroïde descendant d’esclave s’émancipe de son identité d’ex-esclave et s’identifie à une personnalité légitime et respecté. Dans ce monde cosmopolite, nègres et aryens sont frère et se soutiennent comme si ils avaient été issus de la même mère et font comme si aucune violence raciale n’avait existé, ce monde nouveau du métissage contrôlé demande par tout les moyens des héros nègres et ceci nous le voyons au cinéma (voir le dernier starwars), dans la politique (Barack Obama), dans l’art barbare (HipHop), dans l’économie (Quintin E. Primo III), dans le sport (Michel Jordan), dans la culture barbare (Oprah Winfrey), mais dans l’histoire nous avons rien, presque rien si ce n’est l’histoire récente avec Martin Luther King et Nelson Mandela. Nous savons que chez les Romains la mythologie n’a rien de cosmique et se confond avec l’histoire, ainsi les Romains disent descendre de la Déesse Vénus (Tanit), ainsi la mythologie est une vieille histoire, l’histoire de l’histoire, ou l’histoire de ce qui est trop ancien pour être raccordé à notre réalité. C’est dans cette perspective que nous savons que chaque peuple essaye de faire sa place dans la mythologie hellène et romaine pour se donner une légitimité antique à faire partie des grandes nations mythiques. Après des années de soutien à la cause négrocentriste américaine, le leadership aryen n’arrive toujours pas à trouver à ces gens une réelle profondeur historique, pour parvenir à cela il a fallu trouver un mythe où des peuples venu de Libye (Afrique) aurait été en contacte avec la Grèce, ce mythe fut choisie en le personnage de Memnon, Roi des Ethiopiens et personne n’oserai contredire une telle théorie frauduleuse, ils tiennent leur personnage mythique pour honorer les peuples nègres. Sauf que ce dernier n’est ni nègre ni “d’Afrique Noir”, il est d’Ethiopie le pays des Libyens à la peau brûlé et la tradition le fait venu de l’Est, probablement de la Phénicie (Moyen-Orient) que l’ont sait selon la tradition être une ancienne colonie éthiopienne puisque dans le mythe d’Andromède la princesse éthiopienne est prisonnière sur les côtes de Jaffa (Palestine-IsraEL). Nous allons dans cette article exploré l’énigme de Memnon et démontré le mécanisme frauduleux auquel se tien le leadership anglosaxon afin de tromper les esprits.

 

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Achille contre Memnon, ce dernier a les traits hellènes, car selon les anciens Hellènes, les Ethiopiens sont de race similaire à la leur, mais avec la peau sombre. Le type méditerranéen à la peau noir, c’est l’éthiopien.

 

Dans la mythologie, Memnon (en grec ancien Μέμνων / Mémnôn, « celui qui tient bon ») est le fils d’Éos (l’Aurore) et de Tithon, fils de Laomédon. Combattant du côté des Troyens pendant la guerre de Troie, il est tué en combat singulier par Achille.

Son nom a été donné sous l’Antiquité au colosse de Memnon, une statue monumentale située près de Thèbes en Égypte, qui représente en réalité le pharaon Aménophis III. Certains pensent qu’il s’agit d’une statut en son honneur.

 

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Le colosse de Memnon à gauche en mauvaise état.

 

Memnon le fils d’Éos (l’Aurore) et de Tithon, fils de Laomédon, et donc le neveu de Priam, roi de Troie [les Hellènes disaient qu’il avait un lien de parenté avec les Ethiopiens, ceci confirme un lien de sang]. Il est le roi des Éthiopiens, peuple déjà cité par Homère et situé à l’époque archaïque près d’Océan, aux extrémités orientales de la terre – Hécatée de Milet est le premier à les situer au sud de l’Égypte [probablement la Somalie ou le Yemen qui est une ancienne colonie éthiopienne]. Il est d’abord représenté comme ayant des traits grecs dans la céramique, bien que ses compagnons soient représentés avec des traits négroïdes. Par la suite, Virgile comme Ovide le mentionnent bien comme ayant la peau noire. La confusion raciale est du au faite que les Hellènes avaient une image confuse de l’Ethiopie, mélangeant même éthiopiens (visage brulé) et nègres (traits grossiers), cette confusion on la retrouve dans certaines oeuvres, parfois même dans les écrits où le terme éthiopien est utilisé pour décrire aussi les nègres qui tire leur nom du lac niger (au Niger) dit “subsaharien de l’ouest”, néanmoins les Hellènes savent pertinemment que les Ethiopiens sont un peuple mythique de race libyenne et brûlé par le Soleil (voir mythe de Phéobos), ce qui peut expliquer qu’il soit dessiné avec des traits grecs mais avec un tain sombre.

 

Autre représentation de Memnon entouré de ses miliciens nègres, se distinguant largement par des traits hellènes, de race méditerranéenne.
Autre représentation de Memnon entouré de ses miliciens nègres, se distinguant largement par des traits hellènes, de race méditerranéenne avec une grande barbe, alors que les deux nègres ont l’air plus tôt imberbe.

 

Lorsque la guerre de Troie éclate, Memnon se présente spontanément aux Troyens ou, dans des versions plus tardives, est appelé par Priam. Il quitte Suse, où il a établi son royaume, et rejoint Troie où, revêtu d’une armure forgée par Héphaïstos, il se mesure à plusieurs héros grecs. Un peu plus tard, il affronte Nestor et celui-ci appelle à l’aide son fils Antiloque, l’un des deux grands amis d’Achille avec Patrocle. Antiloque sauve par son intervention la vie de Nestor mais est tué à sa place par Memnon. Achille, furieux, décide de venger son ami et engage le combat contre Memnon. Ce combat entre le fils d’Éos et le fils de Thétis est arbitré par Zeus lui-même qui donne la victoire à Achille mais accorde à Éos l’immortalité pour son fils.

 

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Memnon contre Achille, les deux personnages illustres semble être de race méditerranéenne.

 

Le cadavre de Memnon est emporté par sa mère — ou, selon les versions, les Vents — en Éthiopie cependant que les Éthiopiens sont métamorphosés en oiseaux. Selon la tradition grecque, les « Memnonides » (Philomachus pugnax) volent d’Éthiopie jusqu’à la tombe du héros, où ils se battent jusqu’à ce que la moitié d’entre eux ait péri. Les larmes que verse l’Aurore sont les gouttes de rosée que l’on voit chaque matin.

 

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Eos (Aurore) vient reprendre son fils Memnon mort face à Achille, ce dernier ainsi que sa mère ont les traits méditerranéens.

 

Pour la plupart des auteurs, le tombeau de Memnon se situe à l’embouchure du fleuve Aesépos, sur les bords de l’Hellespont. Selon d’autres versions, il s’agit d’un simple cénotaphe, la véritable tombe se situant à Suse. D’autres encore nient qu’elle ait jamais existé.

 

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Reprenons le mythe, il est dit que : Memnon, personnage de l’Iliade, fils du beau Tithon (frère de Priam) et d’Eos (= l’Aurore) [fils d’Aurore ce qui soutient qu’il est venu par la Phénicie, un pays d’Asie, du levant, on sait selon les sources hébraïques que Canaan était peuplé de gens à la peau sombre qui n’était pas hébreux], régnait sur l’Égypte et l’Ethiopie, selon les uns, sur la Perse et la Susiane, selon les autres [le royaume d’Ethiopie de l’époque comprenait probablement la Phénicie, l’Egypte et l’Arabie]. Il vint, dans la dixième année du siège de Troie, amener à Priam un secours de dix mille combattants, se distingua par sa bravoure et tua Antiloque, fils de Nestor, combattit Ajax; mais il fut tué lui-même par Achille. Quand il eut été placé sur le bûcher, on vit sortir de ses cendres une troupe d’oiseaux, qui, pour honorer ses funérailles, se partagèrent en deux bandes et se combattirent avec fureur; l’Aurore, désespérée de sa mort, versa des larmes abondantes qui se transformèrent en rosée [ici le Roi éthiopien n’est plus vu comme un guerrier venu du sud, mais d’Orient, possible rapprochement à faire avec les Cananéens].

 

 

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On érigea en son honneur dans plusieurs villes, notamment à Suse, à Ecbatane, à Thèbesen Égypte, des monuments dits memnonium. Il existait à Thèbes une statue colossale de Memnon, qui, dit-on, rendait un son harmonieux lorsqu’elle était frappée des premiers rayons du Soleil; il en reste encore des débris. Les uns voient en Memnon un prince réel, qui aurait régné sur les régions orientales, ce qui le fit nommer fils de l’Aurore; les autres le prennent pour un roi puissant de l’Égypte, peut-être Aménophis Il ou III (nom dont celui de Memnon serait une corruption), soit même Sésostris (c’est l’opinion d’Hérodote); enfin d’autres en font la personnification de la lumière solaire. Quant au son rendu par sa statue, si ce n’est une pure invention, on l’expliquerait par une cause physique analogue à celle qui produit le phénomène d’acoustique connu sous le nom de harpe éolienne.

Maintenant que nous avons exposé le mythe, commençons par le commencement, nous allons observer les descriptions qui nous sont faite par l’art hellène de la personne du Roi Memnon, mais avant tout nous devons comprendre ce que signifie un éthiopien. Car pour beaucoup l’amalgame est faite entre éthiopiens et nègres, alors qu’il n’en est rien.

 

Voici des éthiopiens :

 

 

Voici des exemples de princes éthiopiens :

 

 

Et voici des nègres :

 

 

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L’archétype du nègre chez les Hellènes.

 

Les exemples précédents démontre en grande différence physique entre un éthiopien et un nègre, il ne s’agit pas d’une différence d’épiderme, de couleur de peau [d’ailleurs c’est pour cela que nous employons jamais le mot “noir” qui est contre productif, péjoratif et discriminant], ce qu’il faut observer c’est les traits de visage, ils n’ont rien en commun, bien sur il existe des peuplades négroïdes vivant en Ethiopie, ce qui peut expliquer que ces derniers ce retrouve dans l’armée de Memnon, un peu comme au moyen-age il y avait des contingents de soldat soudanais ou malien dans les armées libyennes (Maroc et Egypte), ils ne sont nullement représentatif du pays qui les emploie à la guerre, mais sont un peuple en soutien aux grandes nations du nord libyen (Afrique du Nord).

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La tradition qu’elle soit hellène ou biblique parle des Ethiopiens comme des hommes méditerranéens à la peau sombre. Le nom d’Ethiopie fut donné par les anciens Grecs aux pays du Sud, c.-à-d. de façon assez vague à tous ceux du sud de la Libye; le mot d’Ethiopiens signifiait en grec quelque chose comme hommes brûlés par le soleil (aithô = brûler, ops = visage). Il se localisa pour désigner spécialement les populations du Sud de l’Egypte, du bassin supérieur du Nil, habitant entre le Sahara (Libye) et la mer Rouge (golfe Arabique). Tandis qu’Homère appelle les Ethiopiens les plus éloignés des habitants de la Terre, résidant depuis l’extrême Orient jusqu’aux régions du couchant, Hérodote applique ce nom aux gens du haut Nil. II discerne des Ethiopiens orientaux à cheveux lisses et des Ethiopiens occidentaux à cheveux crépus.

Memnon dans l’art moderne :

 

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Nous vous avons montré des vases hellènes qui montre bien Memnon comme étant de race méditerranéenne, même entouré de soldats nègres l’auteur des peintures indique parfaitement la nature libyque de ce personnage illustre, peu de contradiction dans l’antiquité intervienne sur ce sujet, mais l’art moderne barbare des anglosaxons vient boulverser ce fait établit. Ci-dessus l’illustration la plus célèbre de Memnon le représentant nu dans un paysage helléno-égyptien avec des traits grossiers (négroïde) à l’image de l’idée que ce faisait les peuples européens de l’africain type à cette époque, erreur grossière que nous allons révéler par la suite.

 

 

Voici ci-dessus le buste le plus célèbre représentant Memnon, souvent utilisé dans la propagande négrocentriste pour légitimer le fait que ce dernier soit un nègre par ses traits (nez large, lèvre épaisse). Ce buste est l’exemple parfait de ce que nous voulons illustrer, la propagande nègre et le soutien de la puissance mondiale qu’est l’oligarchie anglosaxonne, en effet ce buste est ancien, il date de l’an -170, il est en marbre et il est entreposé dans l’Altes Museum de Berlin. Et le pied pour les négrocentristes, c’est qu’il est titré “Portrait of Memnon”, quoi de plus précieux pour argumenter et dire “voilà le personnage illustre nègre de la mythologie, nous sommes entré dans la légende”, néanmoins une fois cette jubilation éphémère estompé nous venons rappeler à l’oligarchie mondialiste anglosaxonne et à son alter-ego barbare que sont les Nègres d’Amérique qu’ils vont trop vite en besogne, car en effet il ne s’agit pas de Memnon le Roi des Ethiopiens, mais de Memnon l’élève de Hérode Atticus…

 

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Hérode Atticus (en grec Ἡρώδης ὁ Ἀττικός), de son nom romain Lucius Vibullius Hipparchus Tiberius Claudius Atticus Herodes, né à Marathon en 101, mort en 177, est un rhéteur grec célèbre pour sa fortune et pour ses actions de mécénat public. La fortune d’Hérode était impossible à chiffrer exactement tellement elle était immense, il est l’homme le plus riche de l’antiquité, un milliardaire en son temps.

Hérode Atticus était connu surtout pour sa façon d’apprendre l’alphabet à son fils. Il demanda au précepteur de son fils de faire défiler devant lui d’immenses panneaux de bois où étaient peintes les vingt-quatre lettres de l’alphabet portées par des esclaves. Peut être que ce fameux Memnon fut l’un de ses esclaves nègres qu’il aurait initié.

Revenons au faux buste de Memnon, quand on se penche un peu plus sur la nature de cet objet, on découvre qu’en réalité le personnage dont il est question ne s’appel pas Memnon, c’est juste un sobriquet que lui ont donné de façon arbitraire les anglosaxons en référence au Roi éthiopien illustre de la guerre de Troie, révélant encore une fois la nature confuse de l’homme européen qui confond volontairement ou pas l’homme nègre et l’homme libyen (berbère, éthiopien, hellène) comme dans les oeuvres de propagande colonial.

 

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Voici ci-dessus un exemple parfait de déformation historique, la fontaine du Maure en Italie sensé représenté un homme libyen du Maghreb, représente selon les dires de l’auteur un homme éthiopien [le terme est aussi employé pour désigner vaguement les populations à la peau sombre du sud du Sahara], le nègre ici représenté n’est ni éthiopien, ni libyen, et la renaissance est un défilé de ce type de mensonge historique à l’image de l’esprit européen de l’époque qui ignorait tout des peuples de Libye et avait un image du libyen comme d’un homme nègre, probablement du au faite que les armées conventionnelles et la piraterie libyenne avait beaucoup de mercenaire nègre dans leur rang. Cependant cette déformation va très loin quand la tête de maure sur le drapeau corse devient soudain une tête de nègre, nous dénonçons les erreurs et la propagande de la renaissance européenne.

 

 

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Voici une autre oeuvre allemande, drôle de coïncidence encore une oeuvre anglosaxonne, on va finir par croire qu’il s’agit d’une volonté de l’oligarchie anglosaxonne pour détruire l’identité libyenne. Il s’agit de la fontaine du Maure en Allemagne, le supposé maure n’a rien d’un libyen du Maghreb, mais plus tôt d’un indigène nègre, l’art barbare germanique est rempli de mensonge historique visant à légitimer la race nègre comme faisant partie de leur patrimoine en profitant de l’ignorance des populations locales au sujet de la race méditerranéenne, des Hellènes (Grecs) et des Libyens (Berbères, Ethiopiens, Atlantes). Il y a une différence notable à faire entre le terme parfois vague “éthiopien” utilisé par les Hellènes et l’utilisation grossière et détourné pour instrumentalisé l’histoire. Ce type de mensonges historiques sont nombreux, il est donc claire qu’il y a une volonté politique et idéologique derrière une telle perspective de réécriture de l’histoire et de la mythologie. Cette article ne suffira pas à démystifier tout la lourde propagande anglosaxonne barbare joint à celle des négrocentristes, mais nous avons participé à dissiper le brouillard de l’amalgame.

 

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Voici ci-dessus le buste d’une éthiopienne au musée national Del Prado en Espagne qui n’a rien d’éthiopienne, mais plus tôt d’une femme nègre et ce buste est utilisé dans les descriptions de Memnon pour légitimer sa négritude. Encore et toujours ce même procédé de propagande qui une fois percé à jour devient vide et lacent, néanmoins à notre époque tout est ainsi, car l’homme anglosaxon domine l’Europe, le monde et les esprits des plus brillants chercheurs au point que l’étude des races humaines est devenu une discipline interdite et cela pour plonger les gens dans une profonde ignorance, pour qu’ainsi ils acceptent tout propagande, la méconnaissance du continent libyen ajouté à la propagande colonial a préparé le terrain à genre de machination. Néanmoins nous ne pouvons pas en vouloir aux Européens, car la faute en revient à nous Libyens qui avons oublié nos racines raciales en nous auto-affligent du nom de “arabe” et “amazigh”, cela pour nouer le lien avec la généalogie biblique, nous sémitiser et oublier nos véritables racines libyennes et méditerranéennes, notre lien racial fort avec la Grèce et Rome. Il est temps désormais pour renouer avec notre identité raciale pour mettre un terme à la folie de ceux qui essaye de négrifier notre histoire et/ou de nous voler notre mythologie en faisant de notre peuple des hommes “caucasiens”, nous ne sommes ni nègre, ni aryen, mais Libyen.

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L’énigme de Memnon est désormais résolu, nous savons désormais le rôle prépondérant qu’a eu l’orientalisme anglosaxon dans la négrification des populations de la Libye du Nord (Afrique du Nord), nous savons les raisons pour laquelle un personnage mythique nègre est capital dans notre monde moderne barbare et nous avons appris ce qu’était un éthiopien. Ceci nous a permis de démystifier la propagande, de savoir qui est réellement Memnon et repositionner ce grand personnage mythique dans la Civilisation méditerranéenne. Nous n’avons pas résolu certaine zone d’ombre comme le colosse de Memnon en Egypte, le mystère reste entier, mais nous espérons que nos travaux auront permi de dénoncer la propagande “anglosaxonne & nègre” et contribuera à l’enrichissement par le retour de notre identité libyenne authentique.

 

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