L’islam et le culte de Vénus (Astarté)

 

Avant l’islam les Arabes et de nombreux peuples en Phénicie (Moyen-Orient) vouaient un culte très développé à la Déesse Vénus (Astarté) ou nommée aussi Ishtar, ses noms peuvent varier selon les peuples, mais il s’agit toujours de la même Divinité.

 

Elle était surnommée “la Reine du Paradis”, mais son paradis n’était pas celui de l’antiquité que l’on retrouvait chez tous les peuples pieux, il s’agit d’un paradis de dépravation où le sexe était au cœur de tout, ce même plaisir que recherchaient les hommes et femmes arabes en vouant un culte sexuel à leur Déesse fut hérité par l’islam. Les houris sont les anges de Vénus, et ses prêtresses étaient des femmes arabes qui se recouvraient entièrement le visage, elles s’adonnaient à la prostitution sacrée dans les lieux isolés des regards, comme les forêts, mais aussi aux yeux de tous dans le temple de Jérusalem, culte qui a survécu longtemps dans le judaïsme avant d’être repris par l’islam. La femme arabe qui hérita de ces croyances en est si profondément imprégné qu’elle continue de façon inconsciente d’obéir à ces codes vénussiens. Car en effet l’islam considère l’acte sexuel (dans le cadre du mariage) comme un acte d’adoration et le niqab qui servait à cacher l’identité des prêtresses de Vénus est encore utilisé plus que jamais de nos jours.

Aujourd’hui la prostitution dans le monde arabe est un véritable pilier de la culture locale, bien que l’islam la condamne, on est face à une recrudescence de la prostitution au point qu’on fait venir de tous les pays islamiques (arabisés) des femmes pour répondre à ce besoin des hommes arabes à toujours plus de dépravation, car “la chasteté n’existe pas en islam”.

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