L’économie atlante est fondé sur la terre

 

Pendant que d’autre rêve de Dubaï et d’un nouvel eldorado de strass et de paillettes spéculatrices, nous les Atlantes vivons dans le Jardin des Hespérides (Maghrébines), ce merveilleux jardin d’Atlas où ces dernières vont de bon matin cueillir l’herbe nécessaire au bétail, cultiver pour l’avenir et cueillir pour le présent. Nous les hommes atlantes (ichelheyn) devons donner un grand respect à nos femmes, qu’elles soient nos Mères ou nos soeurs, la verticalité de celui qui donne à celui qui reçoit importe beaucoup. Ainsi nous pensons aussi que ce n’est pas le citadin qui doit dominer et se considérer supérieur au paysan, mais tout l’inverse, car c’est celui qui est nourri qui est tributaire, non celui qui produit de quoi nourrir tout une région.

D’un point de vu religieux nous pensons aussi que la vache qui donne le lait est supérieur à l’homme qui reçoit ce don et qu’il n’y a rien d’anormal à ce qu’elle soit adoré, la vache est l’animal qui symbolise Rhéa la Mère des Dieux, cette symbolique témoigne d’un statut de Mère/Nourricière et de Déesse, bien que l’adamisme nie la réalité de ce patrimoine cosmique, la nature et le bon sens leur cri cette vérité à chaque instant. Nous les Atlantes avions pour tradition d’être très proche des Dieux et de tous les adorer avec une ferveur sans égale, il est donc normal que notre héritage soit celui du respect des êtres vivants, tout particulièrement ceux ayant une nature Divine et un rôle majeur dans notre existence par la production de notre subsistance.

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