Juba-II.-king-of-Mauretania.-52.B.C.—23.A.D

22 Replies to “Juba-II.-king-of-Mauretania.-52.B.C.—23.A.D

  1. Il faut lire le livre « Les survivants de l’Atlantide » une enquête de Slosman pour qui l’Atlantide est le royaume des morts des égyptiens de l’occident et les survivants atlantes les ancêtres des berbères qui ont permis à la famille royale ( Horus et ses descendants) d’arriver et de s’installer en Égypte en protégeant leur base arrière en combattant pendant des millénaires Seth et ses descendants

  2. Tellement dommage.
    J’ai trouvé votre site avec un immense plaisir dans ma quête d’informations sur mon identité berbère.
    Apres avoir lu avec avidité vos articles sur notre panthéon, j’ai découvert atterrée votre opinion sur les Kabyles, qui est pour le moins peu élogieuse.

    Donc non content d’avoir subit des siècles d’invasions et de campagne de génocide identitaire.
    Et d’y avoir survécu avec une forte conscience d’être les descendants du peuple originel, j’apprends que nous sommes des charlatans. Première nouvelle.

    Bien que j’adhère à beaucoup de votre analyse, comme le militantisme maladroit et peu productif des kabyles, nous avons le mérite d’avoir résister, de ne rien lâcher, en payant un lourd tribu de notre sang et de permettre de mettre, parfois, le projecteur sur la destruction méthodique du peuple autochtone d’Afrique du nord.
    De plus je ne vois pas beaucoup de solidarité de la part de nos frères marocains pendant que nous nous faisons massacrer. Peut être êtes vous déjà trop occuper à faire des tours de claquettes aux touristes, ou bien d’expliquer le concept d’hommes libres au Polisario.

    Donc en vous lisant, j’apprends que je suis une sorte d’antique fille illégitime de libyens dont la forte appartenance à ma berbérité est une illusion à cause de la décadence de ma nation.

    Je me rends compte que la lutte est loin d’être fini car je dois me défendre des agressions des arabisés et maintenant des auto décrétés véritables porteurs de lumières de la cause.

    Manque de chance, j’ai fais plusieurs tests génétiques, et je suis bien berbère, bien que venant de Kabylie. Mes parents et leurs ancêtres ne m’ont donc pas mentis…
    Aucune nation au monde n’est 100% quelque chose, alors arrêtez de jeter l’opprobre sur les kabyles et de leur faire des procès d’intention.

    Bizarrement tous les kabyles que j’ai rencontré dans ma vie défendent bec et ongles la cause berbère, pendant que 90% des marocains avec qui j’ai conversé m’auraient bien dévissé la tète pour avoir osez dire que nous ne sommes pas arabes, puisque apparemment ils sont tous descendant du prophète.
    N’oubliez pas de leur rappeler leur décadence à eux aussi.

    Je finirais en disant que plutôt que de nous diviser plus que nous le sommes, nous ferions mieux de ramasser les morceaux qu’ils restent en essayant de sauver notre passé sur le point d’être éradiquer, en évitant de se hiérarchiser.

    Cordialement,
    Une vraie berbère de Kabylie

    1. Tifawenn, bonjour agoma nanachebell,

      Je comprend parfaitement ta colère plus que légitime, cependant il y pas mal de chose a éclaircir sur notre position d’aujourd’hui, même si à l’époque nous étions très virulent envers la mouvement néopunique kabyle, beaucoup de chose ont évolué depuis et cela mériterait même un article.

      Premièrement il faut replacé les choses dans leur contexte, nous faisons face à beaucoup de propagande et de tentative de perversion de notre lutte tribale, sans parlé des aliénations pratiqués par l’islam, il est très difficile de ne pas être ou paraître insultant, c’est un peu comme si nous étions dans une sorte de guerre mondiale idéologique et qu’on nous reprochais de faire des bavures. Alors oui on a eu tort, oui nous avons été injuste par moment surotut envers les Kabyles comme vous l’avez remarqué mais pas seulement, on a été injuste et rude envers beaucoup d’autre composante de notre civilisation, mais jamais dans le but de faire mal, ce que nous voulions c’était de faire réagir les gens par de la satyre. Notre monde est en guerre interne, c’est normal qu’il y est des tensions et des accrochage, cependant nous devons allé au-delà de ça et trouver un ennemi commun, si possible celui qui utilise notre frustration à des fins politiques.

      En tout cas au sujet des Kabyles je tenais à m’excuser au nom de tout l’équipe, Maroc Atlantis a beaucoup évolué depuis, on n’est plus ce média nombriliste éthnocentré des débuts, aujourd’hui nous comptons des administrateurs kabyles, tunisiens etc… Nous avons révélé notre véritable potentiel et il est donc temps que tout le monde le sache, d’effacer le mal qui a été fait.

      Notre solidarité elle est dans les idées, nous voulons vous apporter mieux que l’amazighisme et d’ailleurs on est pas les seuls, d’autre algériens le font déjà, cependant si vous parlez d’aide matériel cela viendra le jour où nous aurons les moyens nécessaires, tout ce que nous apporterons de bon au Maroc finira par vous atteindre, que ça soit culturelle, spirituelle ou économique, donc patience. Les touristes n’ont jamais été notre gagne pain, nous sommes un peuple qui travail beaucoup, peutêtre même un peu trop si on compare au reste des Marocains très souvent dépendant de l’état et des aides. Personnellement je veux créer un tourisme libyque, c’est une meilleur alternative où notre culture sera revalorisé et comme ça fini le folklore newage et les stéréotypes.

      Les Izwawn (Kabyles) ont bien sur des gènes germaniques, mais cela ne change rien au faite que vous êtes des libyens et à mes yeux je préfère mille fois un métisse qui a la foi en nos ancêtres, qu’un libyen de sang pur qui soutien l’aliénation adamique (judéomusulmane). Vous restez nos frères de foi quoi qu’il arrive et nous pensons la même choses de ceux qui ont des gènes nigériens.

      Oui en effet tu as raison on ne critique pas assez les marocains arabisés, mais pour la bonne raison qu’on attend rien d’eux, on ne critique que ceux dont on espère un réveil identitaire.
      En tout cas je partage votre volonté de mettre un terme à ces gamineries entres nos peuples.

      Mes remerciements sincères.
      Votre ami de l’Anti-Atlas.

      1. Merci pour votre réponse nuancée.
        Et d’avoir rappelé l’importance de l’union, puisque c’est tout ce qui nous reste face aux oppresseurs.

        Non je ne parlais pas d’aide financière, les kabyles ne sont pas inactifs.
        Mais plutôt des horreurs perpétrées contre eux parce qu’ils défendent la même chose que vous, pendant que la plupart tournent la tète.

        Nous avons une longue route à parcourir donc gardons nos forces pour des choses importantes.

        En tout cas je vous souhaite beaucoup de succès à votre site, tant que le contenue reste juste et garde une volonté de véhiculer la vérité.

        Bien cordialement,
        Nanachebell

        1. C’est dans l’adn de tout marocain de s’inquiéter pour les autres occidentaux (maghrébins) en général, les Izwawn (Kabyles) y comprit, c’est l’orientalisation qui a détourné les gens de leur vrais racines, mais le jour viendra où les gens regarderont vers la Kabylie comme on regarde aujourd’hui la Palestine, ce n’est qu’une question de foi, d’où l’importance de recouvrir la religion libyque de nos ancêtres.

          Merci beaucoup pour votre soutien, j’espère vous relire dans d’autres articles, les prochains risque de vous surprendre.
          N’oubliez pas que nous avons aussi une chaîne youtube qui démarre très difficilement, il faut nous encourager.

          Au plaisir.
          Ayaurr Atlas

  3. Azul, chez nous Yenos = Yacuch ou yilu (dieu)?
    Esprit = a3ssas bugham (esprit de maison) en générale, le même rituel pour la poule les ailes au filles pour qu’elles puissent se mariée les cuisses au mâles pour avoir forces physique, ainsi pour le changement de vieux ex: vêtements, immeubles, ustensiles…etc par contre Tagola?, ce rituel est pratiquer dans toutes les régions où y’a des communautés kabyles* en algerie soit en ville ou village.

    Kabyle est donné à toute la région de l’ancien territoires Numide de l’algeroi jusque dans la région des Aures tribus Zanaga et Kotama qu’aujourd’hui en reste peu les plaines sont occupés par des tribus arabes des bnu hilal (mauvaise race)
    Tanemmirt pour ce rappel commun aux berbères.

    1. Tifawenn agoma,
      Je pense que tu fais erreur, “esprit” ne se dit pas comme ça, “a3ssas” veut dire “gardien”, c’est en quelque sorte l’esprit gardien d’une maison, mais merci pour l’info c’est très enrichissant et il faut toujours rappeler notre culture et nos rituels anciens pour qu’il ne disparaisse pas. Tanmert.

  4. Azul

    L’histoire en tant qu’instrument de vérité et de liberté, est aussi la dimension temps écoulé dans son irréductible irréversibilité. L’histoire en tant que science, c’est ce qui importe, ce qui, sans supercherie aucune, satisfait un besoin ou un désir, ce qui donc retient l’attention, car cela apporte des connaissances pour une meilleure action contre la falsification, contre l’oubli volontaire ou involontaire, sachant que toute personne qui oublie l’histoire est un être vidé de toute âme et de toute mémoire. Et une société sans mémoire est une société condamnée d’ores et déjà à la dislocation et à l’effritement, donc son passé devient inconnu, son présent livré aux vicissitudes, son avenir est sans perspectives.
    L’histoire est une science, une conscience et une connaissance. Et prendre connaissance du passé de Tamazgha suppose ipso facto toute une objectivité et ce, loin de toute notion faussée ou erronée, partielle ou partiale, imaginaire ou aléatoire, subjective ou occultée qui laissent une grande place favorable aux égarements identitaire et social.
    Le souvenir et le passé des générations renvoient à une mémoire qui soude et réunit la société humaine. Et l’une des tâches de l’historien est de construire la connaissance du passé humain et social. L’histoire qui détermine et structure activement la personnalité sans laquelle la liberté serait impossible et/ou illusoire, est la connaissance du passé qui fait que nous sommes ce que nous sommes. L’histoire est sensée être au service de la vie humaine car elle permet de voir et revoir, de connaître et de se comprendre, de tirer des leçons et de se choisir en toute conscience et en toute liberté. L’histoire propose grâce à ses racines tout un devenir. Si les générations précédentes ont bien eu des droits, c’est aux Hommes présents à les respecter, à en garder une sorte de mémoire valorisante et objective.
    La conscience irréfléchie et la pensée utopique permettent l’égarement fatal et mortel. La conscience humaine et non pas l’esprit idéologique est celle du bien et du mal ; elle est aussi la conscience de ce qui est vrai de ce qui faux, ce qui a existé de ce qui n’est qu’un mirage passager.
    Au plan linguistique, la langue amazighe, qui est un indice capital de l’existence des Amazighes, est l’une des langues les plus anciennes de l’humanité. Elle couvrait déjà son autonomie dès les toutes premières formations des sociétés humaines pré-historiques. Par ailleurs, les spécialistes anthropologues et archéologues partagent largement l’idée que l’Afrique représente bel et bien le berceau de l’humanité et l’ancien continent où avaient apparu les premiers hommes.
    Je me fais un devoir de rappeler au lecteur que la langue des Amazighes est d’une existence beaucoup plus ancienne que le proto-indo-européen apparu il y a seulement 6000 ans. Selon le classement le plus admis par les spécialistes, la langue amazighe appartient à la famille de langues dite Afro-asiatique (on préfère cette appellation à celle dite sémito-chamitique ou chamito-sémitique dont la terminologie fait allusion à une construction généalogique proche orientale mise à néant par les dernières recherches). On doit notamment préciser que le foyer géographique d’apparition de cette famille linguistique Afro-asiatique est un point de départ primitif situé en Afrique. C’est pourquoi l’on relève qu’une des langues les plus proche de l’Amazighe est l’ancien égyptien de laquelle dérive le Copte qui est à la base de la première appellation de l’Egypte, transformé par les Arabes en nom de Misr.
    L’un des événements les plus importants de l’Égypte pharaonique s’attache au nom du roi amazighe Chachnaq 1er. Suite à une ancienne et traditionnelle incorporation des Amazighes dans l’armée égyptienne royale, l’Agellid Chachnaq 1er après avoir vaincu de manière éclatante les armées du Pharaon, fonda la première dynastie amazighe d’Egypte. A ce propos, l’an zéro du calendrier amazighe se réfère à cette date historique de 950 avant J.-C. où Cacnaq/Cucanq/Cucunq/Cicungh (quelle est l’authentique transcription ? peut-on recomposer la forme cicu-nnegh ?) fut monté sur le trône et fonda la 22ème dynastie de l’Egypte antique. Les Egyptiens d’aujourd’hui oublient que ces rois amazighes régnèrent sur tout le Delta et conservèrent ce trône dynastique durant plus de deux siècles, ce qui leur avait permis de jouer un grand rôle dans l’histoire égyptienne. Il y a lieu d’évoquer ici que ce souverain parvint jusqu’à envahir la Palestine, qui était une contrée égyptienne, à écraser les troupes du roi de Judée Roboam, fils et successeur de Salomon, à enlever les trésors du temple de Salomon dans la ville de Jérusalem et ceux de la maison de @!#$, et en particulier les boucliers d’or que Salomon avait fait faire (la Bible évoque ce Roi/Agellid amazighe sous le nom de Sesac/scheschok). Pour marcher contre la Palestine, l’Agellid cacnaq avait mobilisé une grande armée composée d’un grand nombre de chariots de guerre, et avait ramené avec lui des libyens, des troglodytes (Ifrigen, pluriel de Afrig) et des éthiopiens. Un nombre de fresques du mur nord du temple d’Ammon, à Karnak, célèbrent cette éclatante victoire du souverain amazighe qui compte au nombre des pages les plus prestigieuses de l’histoire de l’Egypte. Le même nom d’Agellid, évoqué sous formes de Goliat et Djalout (selon les sources arabes), n’était en réalité que le titre porté par les Rois amazighes. Là des généalogistes avaient commis à tort une erreur monumentale en faisant descendre Goliat/Djalout de Pharès, ancêtre des Persans, et d’autres l’avaient fait émigrer de la Syrie. Des sources ont affirmé que ce même Goliat (Agellid) fut tué par David. Même le père de l’église romaine, Saint Augustin rapporte que les autochtones numidiens (Nmidden) croyaient être les descendants des Cananéens (Chanani), chassés par le roi hébreu Josue qui avait vécu en Palestine aux environs du 13ème siècle avant J.-C. On marque une toute petite pause sur cette circonstance pour confirmer que ceux qui voyaient en Agellid comme faisant partie des Philistins auraient été induits en erreur. Même si l’histoire rapporte que ledit roi avait fait déporter une partie de la population de la Palestine, il y a lieu ici de dire que c’est une vérité historique, mais qui se manifeste dans le sens inverse. C’est formidablement ce qui serait passé environ 1100 ans après avec les Fatimides qui sont des Amazighes principalement de la tribu Kutama qui avaient fondé leur pouvoir en Egypte pour aussi aller jusqu’à la Palestine.
    L’occupation par les Amazighes de tout le sous-continent africain (quelques 5 millions de kilomètres carrés, soit 16,45% de la superficie du Continent africain ou presque 50% de celle de l’Europe), y compris une partie de l’Égypte pharaonique, depuis la nuit des temps, aidait aussi à la création de villes qui allaient former les noyaux à partir desquels se constitua la civilisation et les dynasties pharaoniques (d’essence non arabe). Les études égyptologiques présentent de nos jours une valeur universelle du fait qu’elle aboutit à jeter la lumière sur le développement d’une civilisation raffinée dans la région géographiquement avantagée de la grande vallée du Nil ayant pris racine sur le continent africain. Grâce aux avancées perçantes des sciences, on sera par ailleurs fort plausiblement conduit à affirmer que l’Afrique fut non seulement le centre de l’apparition de l’homme, mais aussi son centre d’évolution et de dispersion vers les deux autres continents terrestres : l’Asie et l’Europe. Là, la théorie la plus appuyée sur l’origine de l’homme permet dans l’état actuel des recherches, de conclure sur l’origine géographique africaine de la lignée humaine. L’apparition de l’espèce Homo remonte à environ 2,90 Ma avant J.-C. Au regard de la marche de l’humanité, le continent africain peut être considéré non seulement comme l’utérus terrestre ayant donné naissance au premier homme, mais aussi comme le premier et le plus grand théâtre sur lequel se jouait le drame de l’évolution humaine. En bref, l’histoire de l’humanité a traversé les quelques 5000 ans, ce qui est infinitésimal par rapport à l’énorme dimension temps de la préhistoire. Si l’on rapporte les 2,90 Ma de l’Humanité à l’âge d’un homme de 100 ans, alors l’histoire de l’humanité ne représente qu’à peine 63 jours de cet homme de 100 ans.
    Il est constructif, encore plus un droit absolu que notre histoire, avec ses hauts et se bas, soit transmise à la progéniture. L’un des grands dangers qui guette les têtes, c’est le vide créé et la supercherie entretenue. Mais « On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps. » C’est pour cela que l’on ne peut jamais occulter l’Histoire la plus profonde et la plus réelle qu’elle soit de la Terre des Imazighen.
    Tout le peuple pourra tôt ou tard distinguer la vérité de la supercherie qui ne puisse se ranger que dans le rebut des fossoyeurs de l’humanité.

    1. En effet nous entendons sans arrêt parlé d’origine indo-européenne et pourtant il n’en est rien puisque les premières populations européennes sont berbères, nous pouvons l’affirmer aujourd’hui grâce aux sciences dont l’archéologie et la génétique. Tanmert nk

    1. Tifawenn agoma,

      Désolé pour le moment le forum est fermé, mais essaye de voir si tu peux publier sur ton mure de profil dans un premier temps et on verra ce qu’on peut améliorer ensuite
      Votre aide à la construction du site est la bienvenue.

  5. Merci pour cet article très pertinent. Nous devons approfondir nos recherches et avoir pour perspective de réhabiliter et réutiliser l’écriture Libyque. Visuellement on se rend vraiment compte de la rationalité et de l’intelligibilité de cet écriture.

  6. Les fanatiques islamisés n’ont pas leurs places dans ces lieux, il est inadmissible qu’ils viennent y faire leur loi, aussi jusqu’à quand accepterons nous de subir leur joug ?

    Un point intéressant auquel je n’y avais pas pensé , celui du délaissement de la part de la mouvance amazighe censé défendre nôtre culture ainsi que notre patrimoine, le lien avec la vision laïque et moderniste est pourtant évident. Ce qui prouve que nous ne pouvons comprendre la profondeur de notre culture qu’en intégrant son aspect spirituel qui est fondamental.

    1. Le mouvement amazigh est né de deux influences majeurs, d’un côté l’humanisme des colons français et de l’autre l’adamisme des envahisseurs orientaux, biensur cela ne date pas que depuis hier, Carthage avait déjà préparé le terrain en voulant nous orientalisé, nous avons été accueillant et peutêtre même trop gentil et c’est cela que nous payons, le mouvement en question est donc le reflet de notre souplesse, cependant le temps est venu d’avoir un véritable mouvement qui affirme haut et fort notre identité avec tout les dimensions existante, dont l’aspect spirituel qui a trop longtemps été occulté pour ne pas choquer les esprits faibles.

  7. Outre l’attitude des gouvernements Nord-africains, le plus malheureux et le désintérêt voire le mépris d’une partie de nôtre peuple pour son patrimoine spirituel (Libyque) . Si nous voulons sauver ce patrimoine, il faut expliquer à nôtre peuple, la valeur et la portée spirituelle de ces lieux sacrés.
    Je suis également d’accord avec le fait que la spiritualité Libyenne est l’âme des Libyens, si nous voulons nous réaliser pleinement, et vivre un véritable renouveau civilisationnel, cela passe par un retour à la religion de nos anciens.

    1. C’est exactement là tout le problème, nos populations doivent revenir peu à peu au libysme, car à ce jour ce ne sont pas les Etats qui encourage l’abandon de nos traditions, mais l’adhésion de nos populations à une mondialisation qui les aspire tel un torrent de propagande invincible. Il faut laisser de côté le volet politique et nous concentrer sur ce qui ne va pas dans notre fort intérieur, car notre foi est entrain de disparaître.

  8. Il était temps de rétablir la vérité sur ce personnage très ambiguë qu’est ibn khaldoun. La généalogie qu’il a attribué à nos peuples, nous a fait énormément de mal. Ce personnage a une responsabilité lourde dans le processus d’arabisation et de manière générale, la sémitisation de l’esprit de nôs peuple. Cet origine Cananéenne via Mazigh des peuples Libyens représente une des plus grandes fraudes de nôtre histoire.

    1. En même temps on aurait jamais eu à nous en plaindre si nous avions bannit tout les historiens arabes de nos livres d’histoires nationaux, cependant le problème est là, notre coeur est peutêtre en Occident (Maghreb), mais notre esprit est en Orient.

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