L’Atlantide vu par les Arabes

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Nous savons très peu de chose sur l’Atlantide vu par les géographes arabes, pareil pour la mythologie islamique à travers le coran qui parle de nos contrées, les textes sont très souvent ignoré pour la simple raison qu’en Hespérie (Maghreb) les gens sont avant tout mahométan, la pratique de la tradition oral que sont les « hadiths » est prédominante au point que le coran est très mal connu des populations libyennes, bien qu’il existe des « hadiths » parlants de nos ancêtres, mais ils sont très peu connu. Cependant nous allons aborder ici le volet géographique, qui semble pour beaucoup un point de détail puisque l’Islam semble avoir tout fait pour détruire la culture libyque, mais il en est rien, les préjugés ont la peau dure, mais nous savons désormais que la religion islamique tient ses racines dans celle des Hellènes et contient de nombreux mythes faisant le lien avec ceux des mythologies méditerranéennes avec lesquelles le monde arabique est connecté depuis la nuit des temps. Ainsi nous accordons beaucoup d’importance à l’avis des géographes arabes qui décrivent l’Atlantide à leur arrivée chez nous tel que nous l’avais conté les anciens Hellènes (Grecques).

Au cours de l’expansion de l’islam, les géographes arabes considèrent l’extrémité nord-ouest de l’Atlas comme une île coincée entre la mer Méditerranée au nord et le désert aride au sud. Une fois leurs idées suffisamment encrées, cette île se soulève contre le pays montagneux d’Andalousie. Cette partie du monde constitue alors pour eux leurs limites extérieures. D’autre part, ces géographes arabes ont étendu le concept d’Atlas plus à l’est, au-delà de ses limites naturelles.

L’idée de « Maghreb » (Le Couchant) pour désigner l’extrême ouest de la Libye renvoi à la même signification que le terme hellène d’Hespérie qui désigne ainsi cette région comme le fin fond du monde, là où le soleil finit sa course.

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