


Dieu jaloux et manipulateur, Allah est un Dieu dont l’existence et le culte remontent bien avant la naissance de l’islam. Ce Dieu se retrouve dans toutes les grandes mythologies du monde (héllénique, latine, libyenne, sumérienne etc…)
À Carthage, son culte se manifestait par un sacrifice d’enfants mâles annuel. Stéphane Gsell explique, dans son tome IV de l’Histoire ancienne de l’Afrique du Nord, qu’on sacrifiait annuellement des enfants mâles, nés de citoyens et pris parmi les meilleures familles. » Toujours selon Gsell, le nombre de victime s’élèverait probablement au nombre de deux. Diodore de Sicile affirme qu’en 310 les carthaginois firent un sacrifice exceptionnel à Allah (Cronos-Saturne). Les victimes se comptèrent au nombre de 300. On accusait d’ailleurs les parents d’avoir substitué leur propre fils à des enfants achetés. Mais il est probable que le nombre de victimes fut de 500. Effectivement en 310, lorsque Agathocle vint camper près de leurs murs, les carthaginois sacrifièrent 500 enfants. Ce sacrifice extraordinaire permettait d’obtenir le pardon d’Allah, irrité, croyait-on, par les substitutions frauduleuses d’enfants que faisaient les nobles et qu’une enquête révéla.
Silius Italicus affirme qu’on tirait au sort les enfants à sacrifier. Mais il n’est pas exclus que certains fanatique d’Allah sacrifiaient volontairement leur fils à la Divinité. Le sacrifice exigeait l’aîné de la fraterie. Gsell affirme que ces sacrifices étaient un travail de piété chez les cananéens (amazighs, phéniciens orientaux) et qu’à Carthage, ils étaient devenus une institution d’État. Ces sacrifices visait à s’attirer les faveurs du Dieu. On sacrifiait également en temps de catastrophes (peste, sècheresse, défaite militaire). Le but était d’apaiser la colère du Dieu. À la fin du Vème siècle, lorsqu’une peste ravagea une armée assiégeant Agrigente, le général Himilcon sacrifia un enfant pour apaiser Allah.
Contrairement à ce que les néopuniques affirment, Massinissa n’était pas un esclave au service des Romains. Massinissa aimait particulièrement les enfants et ne pouvait tolérer ces sacrifices. C’est pourquoi il s’allia aux Romains pour détruire Carthage.
Culte d’Allah (Saturne) chez les Romains
On retrouve également ce culte à Allah dans l’ancêtre de l’épiphanie chrétienne. En effet l’épiphanie chrétienne tire son origine de la fête du solstice d’hiver chez les romains. Les Romains tiraient au sort un Roi, lors d’un banquet, grâce à une fève. Ce futur Roi pouvait même être un esclave. Cette fête était l’occasion pour les maîtres et les esclaves d’échanger leur rôle. Le pseudo monarque donnait des ordres et se faisait servir par les maîtres. Ce fête était suivi du sacrifice du Roi mais les romains décidèrent de sacrifier un condamné à mort. Dans la garnison, un Roi, étaient choisi par les soldats parmi les condamnés à mort. Ce Roi condamné à mort prenait part aux festivités avant d’être sacrifié sur un autel dédié à Saturne.
Conclusion: Comme nous pouvons le voir avec les Phéniciens et les Romains, le culte d’Allah repose sur le sacrifice humain. La coutume veut qu’il s’agisse de l’aîné mâle de la famille.
Pour aller plus loin: Le sacrifice du Mouton à la place de l’enfant.
Le mythe selon lequel un mouton fut substitué au fils d’Abraham n’est qu’un leurre pour donner à Allah une image de miséricordieux et faire adhérer les population à son culte. En vérité une fois l’entièreté de la population mondiale convertie au satanisme (islam, judaïsme). Ce sacrifice d’un enfant mâle sera rétabli. Pour conclure il est impératif de ne plus participer aux festivité de « l’Aïd El Adha » pour ne pas encourager la résurgence du culte d’Allah.