Critique de l’infiltration barbare en Hellénie

 

L’invasion de l’Europe par les Indo-Aryens n’est pas une théorie à prendre à la légère, elle coïncide avec le déclin des grandes civilisations méditerranéennes, vers -1800 cette invasion n’était peut être pas guerrière, mais une fois leur colonies constituées, les Barbares vont devenu de plus en plus gourmand et vouloir s’approprier le Sud de l’Europe qui est le foyer et l’âme de la civilisation européenne pré-indo-aryenne. Si la Grèce a tenu tout ce temps face a des voisins envahissant qui rappelons-le, sont d’extraordinaires nomades, ce n’est que grâce à l’amour de leur race (berberoïde en sommes, c’est à dire libyenne et pélasge) et a leur racialisme qui conduit au rejet des Barbares. Nous verrons ensuite que c’est par l’abandon de la tradition que viendra la chute des Hellènes qui était encore berberoïde à cette époque. Nous expliquerons comment de simples philosophes barbares avec tout ce qu’il y a de plus ordinaire ont infiltré l’Hellénie pour y semer la graine de la discorde par la tolérance, le cosmopolitisme et le monothéisme.

 

Néanmoins avant d’entrer dans le vif du sujet, parlons un peu des Pélasges.

 

 

Les Pélasges » étaient bien un peuple ayant pratiqué la haute mer «pelasgos », venant tout droit de l’horizon maritime « pelagos », ressemblant au loin par leurs voiles, à des oiseaux rapides, ou des cigognes « pelargos », dont les habitants avaient le teint brun « pelas », leur dénomination est probablement l’oeuvre de barbares ayant infiltré le monde hellenique. L’un de leur grand symbole sont les spirales gravées sur la roche, on le retrouve dans le désert Téthys (Sahara vert) de Tassili et un peu partout dans le monde, leur voyage à travers le globe ne fait pas du tout pensé a un peuple colonisateur classique, mais plus tôt a des rescapés de l’Atlantide, d’ailleurs leur description laisse a pensé qu’ils seraient une branche des Atlantes (peuple de l’Atlantide au Maroc) et le fait qu’on les nomme “peuple de l’horizon maritime” renvoi à deux possibilités, soit l’autre rive de la Méditerranée (Libye) ou l’Océan atlantique (rivage marocain). On retrouve en effet dans la description des Atlantes par Platon dans son Critias, une ressemblance curieuse avec les Pélasges, malheureusement vous l’aurez comprit les scientifiques barbares ne travail qu’a condition de pouvoir prouver que ces derniers sont d’origine barbare, idem pour l’Atlantide qu’ils refusent de voir au Maroc bafouant les textes de Platon et traitant ce dernier de menteur à l’instar de ceux qui autrefois insultait Hérodote de fabulateur. 

 

Si nous avons prouvé l’origine libyenne des Dieux “hellène” ce n’est pas par volonté de s’approprier leur culture, puis que nous Libyens sommes a l’origine de cette dernière, ça serait comme accuser un britannique de s’approprier halloween, une fête aujourd’hui considéré comme propre aux Américains. Ainsi il nous incombe désormais de prouver le lien racial entre Hellènes et Libyens, c’est là que la génétique interviens et nous donne raison.

L’origine libyenne des Hellènes précède même l’arrivé des Pélasges et l’époque minoenne, ce qui démontre bien une double origine pré-indo-aryenne, qui est “occidentale” par les Atlantes (Maghrébins) et lydienne pendant le mésolithique des premiers berberoïdes.

 

Pourtant malgré les très nombreuses preuves, les partisans de l’origine indo-aryenne ne recule pas, les raisons ne sont pas scientifiques mais politique et raciale, l’objectif pour l’homme barbare est de s’approprier tout l’Europe, Rome était le dernier mur pour empêcher l’invasion et il est tombé. Désormais ce qui est était le phénotype méditerranéen d’origine est devenu le “métèque”, le basané que l’ont moque car probablement issus d’un ancêtre arabe, bien sur tout cela n’est que de la caricature, une diabolisation de la race méditerranéenne pour effacer la mémoire et faire comme si elle n’avait jamais existé, selon les Barbares nous serions donc que de pauvres caucasiens (barbares) qui ont été métissé à des arabes ou des nigériens. Cette propagande racialiste indo-aryenne est d’autant plus choquante quand la France arrive en Algérie et qui au lieu d’y voir des gens semblable aux Hellènes, y voit un foyer racial sémite, à tel point que même plus d’un siècle après les populations maghrébines continue de croire en une hypothétique origine arabe ou juive (amazigh). Le traumatisme d’une telle propagande a très clairement détruit l’identité raciale méditerranéenne, pourtant il existe encore de fières peuples libyens assez éloigné de l’influence barbare pour se dire autochtone et de race berberoïde (peau mate).

 

Ensuite si l’arrivé des Indo-aryens n’est pas si tardive que ça, elle reste néanmoins a hauteur de 4000 ans avec celle des berberoïdes, ceci dit il faudra encore tout autant de temps pour qu’ils atteignent la Grèce.

La théorie de l’invasion aryenne (TIA) soutient qu’un peuple de cavaliers et de guerriers nomades de « race indo-aryenne », connu sous le nom d’« Aryens » et originaire de l’Iran, a connu une grande expansion démographique et militaire entre les xviie et xvie siècles av. J.-C., et a envahi l’Europe et l’Inde du Nord.

Cette théorie a été proposée pour la première fois par l’abbé Jean-Antoine Dubois, un indianiste français, et développée par l’indianiste germano-britannique Max Müller durant le xixe siècle.

Elle a pour objectif de proposer un schéma de dispersion des langues indo-européennes sur le continent eurasiatique, tandis que les chercheurs influencés par cette théorie tentent de dater le moment de cette dispersion et de définir le foyer originel de cette population

Les spécialistes décrivent l’arrivée vers -1800 de peuples, au sujet desquels nous possédons peu d’informations, qui pénètrent dans le bassin moyen du fleuve Indus. Ces peuples sont des nomades pasteurs qui maîtrisent le cheval, le char et le fer. Ils proviennent, pensent ces mêmes spécialistes, de l’Asie centrale et parlent des langues proches de l’iranien ancien, apparentées aux langues dites « indo-européennes ».

Ils partent ainsi du postulat que la dénomination d’« Aryens » désigne une ethnie en particulier, pratiquant une religion codifiée vers le xie siècle av. J.-C. dans les Vedas. En s’installant dans la plaine indo-gangétique, ce peuple se sédentarise et se mêle aux populations autochtones du nord de l’Inde.

Aujourd’hui, la quasi-totalité de la communauté scientifique n’utilise plus l’expression « invasion aryenne » mais lui préfère celles de « migrations indo-iraniennes » ou de « migrations indo-aryennes », il semble que les deux dernières “guerres mondiales” ont eu pour effet de soumettre les nations européens (grecoromaines) du Sud de l’Europe et ainsi leur imposer un dictas identitaire qui impose l’idée d’une seul famille européenne qui soit de race “blanche” (causoïde) et indo-aryenne.

 

Les arguments des défenseurs de la théorie de l’invasion barbare sont aussi a faire valoir malgré la censure.

Entre autres arguments, les partisans de la TIA pensent que la civilisation indusienne était à forte tendance urbaine et ressemblait très peu à celle décrite dans les Vedas, qui avait un caractère pastoral. Les Vedas ne contiennent que très peu d’éléments représentatifs d’une civilisation urbaine (par exemple, les structures des temples, système de collecte des eaux usées). Elle ignorait totalement le cheval, alors que cet animal est présent dans les Vedas. Une divinité de premier plan des Vedas est Indra, et c’est un dieu guerrier, or les hommes de l’Indus semblent avoir été plutôt pacifiques. On peut en déduire que les Indusiens et les gens qui ont rédigé les Vedas (les locuteurs du sanskrit) étaient deux peuples différents.

On connaît 85 sites de la civilisation indusienne répartis sur une superficie deux fois supérieure à celle de la France, du Pendjab jusqu’à l’État indien du Gujarât. L’assèchement d’un fleuve ne peut certainement pas expliquer le déclin d’une civilisation couvrant une aussi grande superficie. Il faut remarquer que plusieurs sites se trouvent sur le cours actuel de l’Indus, ceux de Gumla, de Vukhar, de Mohenjô-Dâro et d’Amrî. L’arrivée d’un peuple étranger reste donc une hypothèse envisageable.

Il faut tenir compte du fait que la civilisation indo-aryenne, qui utilisait le sanskrit et ses dialectes dérivés, était de toute évidence de la même origine que les civilisations iraniennes. Ainsi, le terme Arya, francisé en « Aryen », est indo-iranien ; le nom même de l’Iran provient du vieil iranien Aryânâm xshatra signifiant « royaume des Arya », qui s’est par la suite transformé en Êrân shahr. Il y a très peu de différence entre le sanskrit védique et la langue de l’Avesta, le texte iranien le plus ancien. Pour s’en rendre compte, il suffit de comparer deux expressions signifiant « cette puissance divinité » :

Avestique : तेममवन्तें यज़तेम् / tem amavantem yazatem
Sanskrit : तममवन्तं यजतम् / tam amavantam yajatam
On a l’impression que les locuteurs du védique et de l’avestique pouvaient se comprendre, comme s’ils avaient formé un peuple unique. Le problème serait alors de savoir si ce peuple, les Aryens, était originaire de l’Inde ou de l’Asie centrale. Dans le premier cas, cela signifierait que les Iraniens auraient quitté l’Inde pour se diriger vers l’Asie centrale, ce qui serait surprenant. Aux temps historiques, aucun peuple n’a jamais quitté l’Inde, hormis les Tsiganes. Au contraire, l’Inde a souvent été envahie par des peuples, attirés par la richesse de la terre, venant de l’Asie centrale tels les Shvetahûna ou Hephthalites, les Pachtounes ou les Moghols.

Des indices suggèrent que les Aryens auraient vécu dans l’actuelle Russie. Ils ont en effet donné un important vocabulaire aux langues ouraliennes, une famille qui comprend les langues finno-ougriennes et les langues samoyèdes. C’est ainsi que l’ouralien *parsas « porc » provient de l’indo-iranien *parsas.

À son tour, le groupe indo-iranien s’insère dans la famille des langues indo-européennes. Le lituanien en fait par exemple partie et, comme elle est une langue très conservatrice, elle présente des ressemblances étonnantes avec le sanskrit. Dire que les locuteurs du sanskrit ont toujours vécu en Inde reviendrait donc à affirmer que les langues et les cultures de tous les peuples indo-européens (Celtes, Germains, Tokhariens, Baltes, Slaves, Grecs ou Albanais) sont originaires de l’Inde. La théorie actuellement la moins fragile, celle de Marija Gimbutas, situe le foyer des Indo-Européens en Russie méridionale et en Ukraine. Elle est cohérente avec les emprunts observés entre l’indo-iranien et l’ouralien.

Les données de la linguistique sont corroborées par celles de la mythologie comparée. Il existe des mythes communs aux Indiens et aux autres peuples indo-européens, comme le mythe du serpent ou du dragon, Vritra dans les textes indiens, retenant les eaux ou avalant le soleil. Il est vaincu par un dieu armé de la foudre, Indra en Inde ou Péroun en Russie. Des similitudes ont été observées entre un grand texte épique indien, le Mahabharata, et l’Iliade. Un autre texte, le Ramayana, met en scène des démons, les Râkshasa, qui sont présents dans d’autres croyances indo-européennes. Les Tokhariens du bassin du Tarim ont remarqué, il y a plus d’un millénaire, la ressemblance entre les Râkshasa et leurs propres démons : des créatures anthropophages, mangeuses de chair crue, nocturnes, qui hantent les espaces désertiques et qui n’ont parfois qu’un œil, avec des jambes tordues.

Selon la « trilogie sociale indo-européenne » définie par Georges Dumézil (prêtres-guerriers-travailleurs), trois des castes de l’Inde (qui n’étaient pas alors aussi rigides que maintenant), celles des brahmanes, des kshatriya et des vaishya, dont l’existence est attestée dans les Vedas, correspondent aux divisions de la société observées chez les Celtes. Les brahmanes correspondent en particulier aux druides. Des coutumes peuvent aussi être comparées, comme un important sacrifice du cheval appelé अश्वमेध / aśvamedha en Inde et equus october à Rome. Il existe un nom propre gaulois qui correspond très précisément au terme aśvamedha : Epomeduos (les étymons aśva et epo- proviennent tous les deux de l’indo-européen commun *h₁éḱu̯os « cheval »).

Selon les partisans de la théorie, les Aryens vivaient sûrement en Bactriane avant de descendre vers l’Inde. Aux alentours du xxe siècle av. J.-C., il s’y trouvait une assez brillante civilisation de l’âge du bronze, que certaines caractéristiques rattachent aux Vedas. Par exemple, on voit, sur des vases, des représentations de serpents installés sur des montagnes et contenant des soleils. C’est une illustration du mythe du serpent avaleur, Vritra, qui est rapporté dans les Vedas. En le tuant, Indra a libéré les eaux et a permis au soleil de monter au ciel.

Dans le royaume du Mitanni, qui a dominé la haute Mésopotamie entre le xvie siècle av. J.-C. et le xive siècle av. J.-C., le sanskrit était utilisé. Les textes mentionnent aussi des divinités purement védiques : Varuna, Indra et les Nâsatya. Cela montre que certains Aryens avaient migré vers l’ouest, au lieu de se diriger vers l’Inde. S’il n’est pas fait mention d’une grande migration vers l’Inde dans les Vedas, c’est peut-être parce qu’une partie d’entre eux ont été composés en Bactriane (hypothèse émise par Asko Parpola, de l’université d’Helsinki).

Il convient de noter que si la linguistique permet de prouver l’origine extérieure du sanskrit, elle ne permet pas de dire comment les locuteurs du sanskrit sont arrivés en Inde : de manière progressive ou violente. C’est le caractère guerrier des peuples indo-européens qui a permis de penser que cette migration avait pris la forme d’une invasion. Mais les fouilles des villes harappéennes n’ont révélé aucune trace de destruction.

Les Aryens ont dû arriver en Inde au xviie siècle av. J.-C. C’est en effet sur le site pakistanais de Pirak qu’apparaît pour la première fois, à cette époque, le matériel archéologique caractéristique de la civilisation indienne telle que nous la connaissons. Celui-ci est très différent des vestiges laissés par les Indusiens.

Entre autres arguments, les partisans de la TIA pensent que la civilisation indusienne était à forte tendance urbaine et ressemblait très peu à celle décrite dans les Vedas, qui avait un caractère pastoral. Les Vedas ne contiennent que très peu d’éléments représentatifs d’une civilisation urbaine (par exemple, les structures des temples, système de collecte des eaux usées). Elle ignorait totalement le cheval, alors que cet animal est présent dans les Vedas. Une divinité de premier plan des Vedas est Indra, et c’est un dieu guerrier, or les hommes de l’Indus semblent avoir été plutôt pacifiques. On peut en déduire que les Indusiens et les gens qui ont rédigé les Vedas (les locuteurs du sanskrit) étaient deux peuples différents.

On connaît 85 sites de la civilisation indusienne répartis sur une superficie deux fois supérieure à celle de la France, du Pendjab jusqu’à l’État indien du Gujarât. L’assèchement d’un fleuve ne peut certainement pas expliquer le déclin d’une civilisation couvrant une aussi grande superficie. Il faut remarquer que plusieurs sites se trouvent sur le cours actuel de l’Indus, ceux de Gumla, de Vukhar, de Mohenjô-Dâro et d’Amrî. L’arrivée d’un peuple étranger reste donc une hypothèse envisageable.

Il faut tenir compte du fait que la civilisation indo-aryenne, qui utilisait le sanskrit et ses dialectes dérivés, était de toute évidence de la même origine que les civilisations iraniennes. Ainsi, le terme Arya, francisé en « Aryen », est indo-iranien ; le nom même de l’Iran provient du vieil iranien Aryânâm xshatra signifiant « royaume des Arya », qui s’est par la suite transformée en Êrân shahr. Il y a très peu de différence entre le sanskrit védique et la langue de l’Avesta, le texte iranien le plus ancien. Pour s’en rendre compte, il suffit de comparer deux expressions signifiant « cette puissance divinité » :

Avestique : तेममवन्तें यज़तेम् / tem amavantem yazatem
Sanskrit : तममवन्तं यजतम् / tam amavantam yajatam
On a l’impression que les locuteurs du védique et de l’avestique pouvaient se comprendre, comme s’ils avaient formé un peuple unique. Le problème serait alors de savoir si ce peuple, les Aryens, était originaire de l’Inde ou de l’Asie centrale. Dans le premier cas, cela signifierait que les Iraniens auraient quitté l’Inde pour se diriger vers l’Asie centrale, ce qui serait surprenant. Aux temps historiques, aucun peuple n’a jamais quitté l’Inde, hormis les Tsiganes. Au contraire, l’Inde a souvent été envahie par des peuples, attirés par la richesse de la terre, venant de l’Asie centrale tels les Shvetahûna ou Hephthalites, les Pachtounes ou les Moghols.

Des indices suggèrent que les Aryens auraient vécu dans l’actuelle Russie. Ils ont en effet donné un important vocabulaire aux langues ouraliennes, une famille qui comprend les langues finno-ougriennes et les langues samoyèdes. C’est ainsi que l’ouralien *parsas « porc » provient de l’indo-iranien *parsas.

À son tour, le groupe indo-iranien s’insère dans la famille des langues indo-européennes. Le lituanien en fait par exemple partie et, comme elle est une langue très conservatrice, elle présente des ressemblances étonnantes avec le sanskrit. Dire que les locuteurs du sanskrit ont toujours vécu en Inde reviendrait donc à affirmer que les langues et les cultures de tous les peuples indo-européens (Celtes, Germains, Tokhariens, Baltes, Slaves, Grecs ou Albanais) sont originaires de l’Inde. La théorie actuellement la moins fragile, celle de Marija Gimbutas, situe le foyer des Indo-Européens en Russie méridionale et en Ukraine. Elle est cohérente avec les emprunts observés entre l’indo-iranien et l’ouralien.

Les données de la linguistique sont corroborées par celles de la mythologie comparée. Il existe des mythes communs aux Indiens et aux autres peuples indo-européens, comme le mythe du serpent ou du dragon, Vritra dans les textes indiens, retenant les eaux ou avalant le soleil. Il est vaincu par un dieu armé de la foudre, Indra en Inde ou Péroun en Russie. Des similitudes ont été observées entre un grand texte épique indien, le Mahabharata, et l’Iliade. Un autre texte, le Ramayana, met en scène des démons, les Râkshasa, qui sont présents dans d’autres croyances indo-européennes. Les Tokhariens du bassin du Tarim ont remarqué, il y a plus d’un millénaire, la ressemblance entre les Râkshasa et leurs propres démons : des créatures anthropophages, mangeuses de chair crue, nocturnes, qui hantent les espaces désertiques et qui n’ont parfois qu’un œil, avec des jambes tordues.

Selon la « trilogie sociale indo-européenne » définie par Georges Dumézil (prêtres-guerriers-travailleurs), trois des castes de l’Inde (qui n’étaient pas alors aussi rigides que maintenant), celles des brahmanes, des kshatriya et des vaishya, dont l’existence est attestée dans les Vedas, correspondent aux divisions de la société observées chez les Celtes. Les brahmanes correspondent en particulier aux druides. Des coutumes peuvent aussi être comparées, comme un important sacrifice du cheval appelé अश्वमेध / aśvamedha en Inde et equus october à Rome. Il existe un nom propre gaulois qui correspond très précisément au terme aśvamedha : Epomeduos (les étymons aśva et epo- proviennent tous les deux de l’indo-européen commun *h₁éḱu̯os « cheval »).

Selon les partisans de la théorie, les Aryens vivaient sûrement en Bactriane avant de descendre vers l’Inde. Aux alentours du xxe siècle av. J.-C., il s’y trouvait une assez brillante civilisation de l’âge du bronze, que certaines caractéristiques rattachent aux Vedas. Par exemple, on voit, sur des vases, des représentations de serpents installés sur des montagnes et contenant des soleils. C’est une illustration du mythe du serpent avaleur, Vritra, qui est rapporté dans les Vedas. En le tuant, Indra a libéré les eaux et a permis au soleil de monter au ciel.

Dans le royaume du Mitanni, qui a dominé la haute Mésopotamie entre le xvie siècle av. J.-C. et le xive siècle av. J.-C., le sanskrit était utilisé. Les textes mentionnent aussi des divinités purement védiques : Varuna, Indra et les Nâsatya. Cela montre que certains Aryens avaient migré vers l’ouest, au lieu de se diriger vers l’Inde. S’il n’est pas fait mention d’une grande migration vers l’Inde dans les Vedas, c’est peut-être parce qu’une partie d’entre eux ont été composés en Bactriane (hypothèse émise par Asko Parpola, de l’université d’Helsinki).

Il convient de noter que si la linguistique permet de prouver l’origine extérieure du sanskrit, elle ne permet pas de dire comment les locuteurs du sanskrit sont arrivés en Inde : de manière progressive ou violente. C’est le caractère guerrier des peuples indo-européens qui a permis de penser que cette migration avait pris la forme d’une invasion. Mais les fouilles des villes harappéennes n’ont révélé aucune trace de destruction.

Les Aryens ont dû arriver en Inde au xviie siècle av. J.-C. C’est en effet sur le site pakistanais de Pirak qu’apparaît pour la première fois, à cette époque, le matériel archéologique caractéristique de la civilisation indienne telle que nous la connaissons. Celui-ci est très différent des vestiges laissés par les Indusiens.

 

Tout ceci nous renvoi a une origine asiatique des Aryens et démontre bien leur sauvagerie masquée par une supposée origine civilisée et de bâtisseurs. Pourtant ce n’est pas ce qui a détruit les Hellènes, ces derniers se sont toujours prémunit du péril barbare, cependant là où le migrant négroïde séduit la nation hôte par la comédie, le caucasoïde séduit par la franchise, on apprend cela à travers l’histoire du philosophe barbare Anacharsis.

 

Anacharsis l’instigateur de la barbarie :

 

Anacharsis (Ἀνάχαρσις, Anácharsis) est un philosophe d’origine « barbare » puisque venu en Grèce du peuple des Scythes au nord de la mer Noire au début du vie siècle av. J.-C. Il est parfois rangé parmi les Sept sages. Il ne reste aucun texte de lui hormis des traditions indirectes. Ce personnage presque légendaire représente l’étranger avisé, le « regard du dehors » dans la civilisation hellénique, une sorte de préfiguration de la perspective des cyniques mettant à distance les mœurs habituelles de la Cité.

Anacharsis est fils d’un prince scythe, Gnouros (Daucétès, selon Lucien de Samosate), et d’une Grecque. Il était bilingue et appartenait à la classe noble des tarabostes que les Grecs nommaient pilophores (porteurs de bonnets). Son frère Cadouidas aurait été roi des Scythes, à ce point célèbre pour sa franchise qu’il fit passer en proverbe « La façon de parler scythe » à Athènes. Le roi scythe Idanthyrse, qui affronta Darius Ier, pourrait également être son neveu.

Il serait venu à Athènes vers la 47e Olympiade (vers 588 avant notre ère) et aurait été accueilli par Solon, séduit par sa répartie. Il aurait été le premier étranger à recevoir les privilèges de la citoyenneté athénienne et aurait même été initié aux mystères d’Éleusis de Déméter.

D’après Hérodote (Enquête, IV, 76), quand Anacharsis revint chez lui, il aurait été tué par son frère parce qu’il voulait importer les coutumes des Grecs. Les Scythes lui auraient reproché d’avoir voulu sacrifier à la Déesse Cybèle (Rhéa, Allat).

 

On lui attribue un livre de 800 vers en grec comparant les usages des Scythes et ceux des Grecs sur la simplicité de vie et sur la guerre. Il n’en subsiste rien.

Certaines de ses sentences sont cependant restées célèbres.

Un Grec lui ayant fait le reproche d’être Scythe, il lui répondit : « Si ma patrie m’est un sujet de honte, toi, tu es un sujet de honte pour ta patrie. » (Diogène Laërce, Vie d’Anacharsis)
Un de ses sujets d’ironie constants en tant que Scythe est le fait que les Athéniens qui se veulent si prudents sur terre prennent des risques inconsidérés en prenant la mer. Apprenant qu’un bateau n’était épais que de quatre doigts, il s’étonnait qu’une si petite épaisseur préservât les marins de la mort. (…) On lui demandait si les vivants étaient plus nombreux que les morts. Il dit : « Mais d’abord, ceux qui sont sur mer, dans quelle catégorie les rangez-vous ? (…) » Il prétendait encore que le vaisseau le plus sûr est celui qui est à l’ancre. (La peur du danger maritime rappel la tradition viking qui consiste a longer les rivages, il faudra attendre l’invention des grands navires pour que les Barbares explorent l’Amérique).

Cette dernière phrase explique peut-être la tradition, issue de Strabon selon laquelle il aurait été l’inventeur de l’ancre. Diogène Laërce dit qu’il aurait aussi inventé le tour de potier.

Un autre de ses sujets d’ironie constants est le sport et l’athlétisme (sujet de l’Anacharsis de Lucien de Samosate, voir ci-dessous). Il était surpris de voir les Grecs faire des lois sur la violence, et pourtant récompenser les athlètes de s’être bien donné des coups. (Ceci démontre bien un rapport complexé à la violence, qu’on retrouve chez les peuples barbares).

Selon Dion Chrysostome, Discours aux Alexandrins, 44, Il disait que « l’huile rend fou, car après s’en être frottés, les athlètes se conduisent les uns envers les autres comme des insensés. » (Ici encore on retrouve ce rapport à la violence qui est un rejet typique des peuples avec un faible taux hormonal, mais aussi la haine de l’huile d’olive, un cadeau divin et symbole fort de la ville d’Athènes). 

Enfin le principal sujet de ses réflexions est le mensonge et la vie dénaturée des cités. À ceux qui lui demandaient ce que les hommes avaient de bon et de mauvais à la fois, il répondait : la langue. Il préférait un ami sûr à beaucoup d’amis infidèles. Il a défini l’Agora comme « un lieu où l’on se trompe mutuellement et où l’on s’enrichit par le vol. » (Ici la vision d’Anacharsis est semblable à celle des Arabes, une approche manichéenne qui considère l’homme comme entièrement menteur donc traître ou fidèle donc loyal, hors la vrai nature humaine est composé d’un savant mélange de mensonge et de vérité, sans quoi nous serions torturé a l’idée d’exprimer nos vrais sentiments, on sait que chez les Barbares la loyauté est tout, cependant si personne ne ment, aucune cité ne peut être bâtit et survivre au temps).

Il comparait les lois à des « toiles d’araignées qui n’attrapent que les petites mouches mais laissent passer les guêpes et les plus gros bourdons. » (Là encore nous sommes face a une vision barbare de la législation, pour eux la loi doit être tyrannique et écraser tout forme de personnalité, c’est ici la matrice qui donnera plus tard naissance au totalitarisme moderne).

De nombreuses maximes concernaient la modération et la tempérance : « La vigne porte trois grappes, l’une de plaisir, la seconde d’ivresse, la troisième de repentir. » Au bas de ses statues, les Grecs inscrivaient : « II faut savoir maîtriser sa langue, son cœur et son sexe. » (La vision barbare de l’amour est très sceptique et négative, pareil pour la sexualité qui est diabolisé, ce qui mènera à la révolution sexuelle moderne que nous connaissons et qui résulte de millénaire de privation et de diabolisation de la nature humaine).

On lui attribuait enfin une lettre sans doute apocryphe au Roi Crésus, le riche roi de Lydie :

« Je suis venu en Grèce, Roi de Lydie, pour apprendre les mœurs et les coutumes grecques. Je n’ai pas besoin d’or, il me suffira pour être heureux d’être devenu meilleur quand je reviendrai en Scythie. Je vais toutefois à Sardes, heureux de vous fréquenter. » (Le refus de la richesse, le même élan idéologique barbare qui donneront naissance aux mouvements hippies des années 60).

Protagoniste du ‘Banquet des sept sages’ (Plutarque) il y intervient à quelques reprises (notamment chapitre 12, sur « la manière dont une maison doit être réglée »).

En 1788, l’abbé Jean-Jacques Barthélemy (1716-1795), philologue, publia Les Voyages du jeune Anacharsis en Grèce2, un récit de voyage détaillé et érudit décrivant les sites et la géographie de la Grèce classique (une version française de la Description de la Grèce de Pausanias).

Le voyage du jeune Anacharsis, le descendant du sage renommé en Grèce, dure d’avril 363 au 7 juillet 336 av. J.-C., quelques jours avant le déclenchement de l’invasion de l’Empire perse par Philippe. Mais l’abbé Barthélémy retrace également d’autres passages de l’histoire athénienne, tels que les réformes des législateurs du VIe et viie siècle av. J.-C. (Dracon, Épiménide, Solon…), les guerres médiques, le siège de Syracuse (415 – 413 av. J.-C.), la chute d’Athènes (avril 404 av. J.-C.)… Il en profite pour rédiger de longues et minutieuses descriptions de diverses villes grecques ou ioniennes, et digresse souvent sur d’autres sujets tels que le théâtre, les coutumes et traditions des peuples, et la philosophie.

Un détail qui caractérise ses écrits : Barthélémy décida, par souci de précision, de noter en bas de ses pages chacune des références antiques qu’il utilise, et convertit lui-même les dates antiques et les valeurs monétaires ou de poids. Nombre d’écrivains célèbres après lui (dont Chateaubriand) se contentèrent de reprendre les notes scrupuleusement écrites par l’abbé lorsqu’ils voulaient parler de l’Antiquité, au lieu de refaire la recherche par eux-mêmes… L’Anarcharsis renferme de nombreuses informations très précieuses sur le vin : mœurs et vie civile des athéniens, fêtes, grandes Dionysiaques, culte de Bacchus, repas, mœurs de table, plats, boissons, longues listes de nourriture avec leurs provenances, cuisiniers, recettes, divers vins de Grèce et des îles ; fêtes des Spartiates, fêtes et mystères d’Eleusis, l’agriculture, etc.

Au moyen d’un cadre simple et ingénieux, Barthélemy y présente le tableau fidèle de la Grèce au siècle de Périclès et de Philippe ; il avait employé 30 années à élever ce monument ; on estime surtout l’Introduction de l’ouvrage. Le livre eut un énorme succès en France et à l’étranger. Au point d’être considéré comme « le dernier grand succès littéraire du xviiie siècle ». Il contribua au renouveau du néoclassicisme et eut de nombreuses imitations tout au long du xixe siècle. René Étiemble qualifiera cet ouvrage d’« illustre fadaise ».

C’est en référence à Anacharsis que pendant la Révolution française, le révolutionnaire d’origine prussienne Jean-Baptiste Cloots (ou Clootz) s’est fait appeler Anacharsis Cloots.

 

Zénon de Kition le phénicien cosmopolite et pré-adamique  :

 

Zénon de Kition (en grec ancien Ζήνων ὁ Κιτιεύς / Zếnôn ho Kitieús), né à Kition (Chypre), est un philosophe grec d’origine phénicienne, fondateur en -301 du stoïcisme, l’école du Portique, et mort en -262. Sa doctrine eut ceci de nouveau qu’elle joignit deux traditions jusqu’alors séparées, à savoir la théorie de la sagesse et la physique : Zénon tenta en effet de concilier les thèses naturalistes de certains Académiciens successeurs de Platon avec la théorie cynique de la sagesse, et créa ainsi un système matérialiste, moniste et déterministe dont le rayonnement fut considérable.

Fondateur du stoïcisme, né à Citium (Chypre) vers l’an 360 av. J.-C. état fils d’un riche marchand, et se livra d’abord lui-même au commerce; mais il y renonça après avoir éprouvé une perte considérable. Entrant par hasard chez un libraire d’Athènes, il y rencontra les Mémoires de Xénophon sur Socrate, et conçut dès lors un goût si vif pour la philosophie qu’il voulut s’y livrer tout entier. Il entendit le cynique- Cratès, le mégarique Stilpon, les Académiciens- Xénocrate et Polémon, puis se fit un système propre, et, vers l’âge de 40 ans (300 av. J.-C.), ouvrit une école sous un célèbre Portique d’Athènes, le Pécile : c’est delà que cette école est nommée le Portique ou École stoïcienne (du grec stoa, portique). L’éclat de ses leçons, l’élévation de sa morale, et plus encore les beaux exemples qu’il offrait dans sa conduite attirèrent auprès de lui de nombreux disciples : on comptait parmi ses auditeurs Antigone Gonatas, roi de Macédoine. Il mourut dans une extrême vieillesse, entouré de la vénération universelle, vers 263 av. J.-C.
Zénon s’était surtout proposé de rétablir dans toute leur autorité la vertu, ébranlée par les Épicuriens, et la vérité, attaquée par les Sceptiques. Il divise la science en 3 parties : Logique, Physiologie (science de la nature) et Morale; mais chez lui les deux premières ne font guère que préparer à la troisième. Dans la Logique, il s’attache surtout à déterminer le criterium de la vérité : il le place dans les perceptions des sens approuvées par la raison, et proclame que toutes nos idées ont leur première source dans les sens : Nihil est in intellectu quia, prius fuerit in sensu. Dans la Science de la nature, il distingue, pour le monde comme pour l’homme deux principes : l’un passif, la matière, le corps; l’autre actif et de la raison. En Morale, il prescrit de se conformer à ce même ordre, qui est la loi de Dieu, et donne pour règle de suivre la nature (sequi naturam) ou la droite raison. Il n’admet d’autre bien que la vertu, d’autre mal que le vice, et trace du vrai sage un portrait idéal qui le place presque au-dessus de l’humanité : il le proclame seul libre, seul riche, seul beau, seul heureux, tombant ainsi dans d’insoutenables paradoxes; il condamne toutes les passions comme autant de faiblesses et de maladies de l’âme, recommandant une insensibilité contre nature, une vertu farouche et pleine d’obstentation. Il n’admettait pas l’immortalité individuelle de l’âme et semblait absorber Dieu dans le monde.

On ne possède aujourd’hui que les titres de quelques-uns de ses ouvrages : De la Vie selon la nature, du Devoir, de la Nature humaine, des Passions, des Mots, etc. On ne connaît ses opinions que par les écrits de Cicéron (Questions académiques, des Biens et des Maux, des Devoirs, Paradoxes, etc.), de Sénèque, de Plutarque, et de Diogène Laërce, qui a donné sa Vie.

Fils d’un marchand phénicien, Zénon naît à Chypre en 333 avant J-C et développe dès son jeune âge un intérêt marqué pour la philosophie, notamment la pensée de Socrate. Il étudie également la ligne des cyniques (anticonformisme et désinvolture, incarnés par Diogène) puis, à l’âge de 38 ans, fonde sa propre école à Athènes : le stoïcisme. Il est vite très apprécié dans la cité. En 262 avant J-C, Athènes est annexée par Antigone Gonatas. Zénon est honoré comme le plus grand des philosophes quelques mois avant sa mort, on lui élève même une statue de bronze. Aucun de ses ouvrages ne nous est parvenu directement, nous ne connaissons les fondements de son école qu’à travers les écrits de ses disciples, parmi lesquels Cléanthe et Cicéron. Zénon, tout comme un autre philosophe connu aux idées très différentes, Epicure, ont tout deux vécu une période troublée de l’histoire de la Grèce qui amorçait son déclin à mesure que la Macédoine d’Alexandre le grand conquérait le monde antique. Ils ont proposé, chacun à sa façon, une philosophie adaptée aux hommes désorientés de ce temps : le premier, Zénon, en leur révélant un Dieu unique miséricordieux, le deuxième en prônant un pacifisme prudent. Ces deux philosophes sont plus actuels qu’il ne paraît. Zénon, le grand consolateur, est toujours parmi nous et son esprit s’incarne également dans le christianisme naissant jusqu’à aujourd’hui.

Ainsi si Zénon est le fondateur du stoïcisme qui encouragera l’anti-racisme et une Grèce cosmopolite, il est aussi celui qui participera à la fin de la religion hellénique et préparera l’arrivé du christianisme orthodoxe qui imposera définitivement l’universalisme et le métissage au nom de la nation universelle d’un Dieu unique, Zeus selon leur dire, mais avec un étrange soupçon d’adamisme comme le judaïsme l’a instauré.

 

Conclusion 

 

Ce qui a détruit le monde hellénique n’est pas les échecs militaires ou les invasions barbares, mais la barbarie en elle même, en effet, ce qui a permis d’effriter le mur de la Civilisation, c’est l’entrée dans les moeurs de ce qu’on appelle “la tolérance”, cette dernière a permis le cosmopolitisme et l’entrée de dangereux éléments barbares, Anacharsis faisait partie de ces barbares infiltrés qui ont détruit l’Hellénie de l’intérieur.   

Quand un hellène reproche à Anacharsis d’être scythe, il lui répondit : « Si ma patrie m’est un sujet de honte, toi, tu es un sujet de honte pour ta patrie. » (Diogène Laërce, Vie d’Anacharsis)

En lisant cette citation de Anacharsis on tombe dénue, on croirait entendre un antifa gauchiste de notre époque, ici le racisme qui est l’un des piliers de la Civilisation est tourné en dérision, de façon à en faire un trait humiliant, comme si aimer sa race et ses semblables était un crime moral. Ici ce que ne comprend pas Anacharsis c’est l’importance de la racialité pour la sauvegarde des nations européens pré-indo-aryenne, sans une protection du sang, n’importe quels sauvageons pourrait se prétendre fils de Zeus et d’origine hellène, c’est d’ailleurs ce qui arrivera quelque siècle plus tard quand le monde barbare va déferler sur les Balkans, même si l’invasion n’a pas été guerrière, elle s’est faite petit à petit par migration et mariage entre barbares et hellènes. La même erreur sera répétée par Rome (dernier espoir de la vieille Europe berberoïde) et même les Maures d’Andalousie (Ibérie) feront la même erreur, la tolérance envers les peuples barbares ont toujours coûté cher à la civilisation et c’est cette idée d’une Méditerranée sans race et sans foi que vont promouvoir les barbares tels que Anacharsis qui feront mine de s’intégrer pour mieux détruire la muraille de l’intégrité de l’intérieur. L’anti-racisme d’Anacharsis n’a rien d’isolé, il est aujourd’hui reprit par tout les pays barbares et se diffuse à travers un monde barbarisé par les Britanniques.

En sommes ce qui a détruit le monde hellénique est ce rapport trop tolérant et favorable envers les Barbares, convaincu de leur supériorité ils n’ont pas pensé a préserver leur race du métissage se sont embourgeoisé à l’instar de Rome qui n’arrivait même plus a recruter parmi ses fils et s’est tourné vers le recrutement de mercenaires barbares, faisant entrer l’ennemi au sein même du système étatique. L’union du monde hellénique au monde libyque aurait pu sauver la Méditerranée, malheureusement l’Hellénie c’est vite retrouver submergé par des hordes barbares venu du nord avec une volonté de fer pour s’intégrer et devenir “hellène”, ces même personnes qui prétendent aujourd’hui que la Grèce est un pays caucasien de race “blanche”.  Si la Grèce avait fermé ses frontières et durcit son rapport aux Barbares tout en nouant toujours plus d’alliance avec le monde libyque, elle aurait non seulement repoussé les invasions barbares, mais aurait reconquis les Balkans qui se trouve à ce jour sous le joug barbaresque et la race berberoïde menacé d’extermination au Kosovo.

En bref même si au départ les Hellènes se voulait un pôle du savoir mondial, partager son savoir avec les Barbares leur a coût cher puisque aujourd’hui leurs nations se partage la parenté du patrimoine hellénique et traite ce pays comme un pays de seconde zone. Le développement de la pensé stoïcienne fondé par un phénicien finira d’ouvrir les portes aux Barbares puisque l’universalisme et la société cosmopolite finiront d’achever ce qui reste du monde hellénique. Ainsi la tolérance n’est qu’une faiblesse que l’ont déguise en valeur pour se donner bonne conscience, il est donc capital d’en tiré des leçons pour le monde méditerranéen que nous souhaitons créer pour demain.

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