Aleph la lettre du Dieu taureau El (Allah)

 

Aleph ou alef (א, prononcé /ʔ/) est la première lettre de l’alphabet hébreu et de l’alphabet arabe.
Elle est l’équivalent à “A” dans notre alphabet latin, son origine vient de “Alpha” la première lettre de l’alphabet hellène (grec) qui représente une tête de taureau. La lettre aleph signifie étymologiquement “taureau” ou “boeuf”.
 
Alpha (aleph) fait référence au Dieu El connu aujourd’hui sous le nom de Allah via l’islam des Arabes, considéré dans la mythologie phénicienne comme le Dieu du commencement la première lettre de l’alphabet lui est dédié. El est connu pour être lié au taureau, c’est d’ailleurs par une tête de ce dernier qu’il est représenté un peu partout dans le monde en signe de virilité absolu et d’offencivité. Nous reviendrons plus tard sur le mythe qui fit la réputation de ce grand Dieux, car cela est nécessaire à la bonne compréhension de la nature de cette Divinité. Néanmoins nous pouvons observer l’évolution de l’alphabet à travers alpha (aleph) qui part d’un hiéroglyphe de tête de taureau à la première lettre des alphabets que nous connaissons aujourd’hui.

 

Alphabet vient des deux premières lettre, alpha et beta, la première symbolisant le Dieu taureau El et la second une maison renversé. Cela signifierai que “alphabet” voudrait dire “maison de El” ou que ce Dieu serait l’inventeur de l’écriture d’où l’importance sacré des textes écrits dans les religions adamiques dédié à cette Divinité littéraire, tourné vers l’abstrait et une vision littérale de la vérité.

 

Dans l’ésotérisme juif on retrouve la lettre alpha (aleph) sous une forme semblable aux aza des Néopuniques (Amazighistes), bien sur il ne s’agit pas du même symbole, ni de la même signification, mais il est possible que ces derniers l’utilisent dans l’objectif de montrer leur allégeance à Israël et témoigné leur affiliation éternel à El (Allah) le Dieu suprême des Phéniciens (Moyen-Orientaux). Bien sur les Adamiques judéochrétiens verraient de bonne oeil une culture libyque fourvoyé et pervertis.

Laisser un commentaire