Disons non aux organisations néocoloniales

UNESCROC

Ce combat peut paraître à beaucoup d’entre nous sans fondement, pourtant il est avéré que les organisations tel l’ONU ou l’UNESCRO (UNESCO) sont des organes néocoloniaux et sont vecteur de danger divers pour nos peuples et nos patrimoines. En effet je parle au pluriel car cela concerne tout les nations libyennes (berbères) et pas seulement le Maroc.

L’organisation qui nous intéresse ici c’est l’UNESCRO qui d’un côté se dit pour la paix des hommes et des femmes, vouloir soutenir et préserver le patrimoine “mondial” bien grand mot, pourtant de l’autre se comporte en véritable agent social idéologique qui veut transformer la jeunesse. Le soutien envers les enfants n’est jamais une chose gratuite, il y a une approche assez inquiétante, l’éducation transmise par cette organisation semble venir tout droit des pays anglosaxon avec leur penchant extrêmiste pour la liberté à outrance, niant tout devoir envers la famille ou la tribu, les enfants sont encouragé à développé la théorie du genre. Le rapport de l’UNESCO datant de 2009  conseille de parler de la masturbation aux enfants à partir de 5 ans et des orientations sexuelles et du genre à partir de 9 ans ( ce qui n’est pas sans rappeler le rapport de l’OMS qui fait encore plus fort. Sans surprise ce sont les fondations Rockefeller et Soros qui sont à l’origine de cette ignominie. Mais nous allons d’abord nous penché sur l’OMS.

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L’OMS est cette autre organisation affiliée à l’ONU comme l’UNESCO, qui se charge de la santé mondiale (Organisation Mondial de la Santé), créer en Suisse par ceux qui domine l’échiquier politique mondial juste après la seconde guerre, en observant leur drapeau on y trouve le mythique symbole du bâton de Moïse qu’on affilie aujourd’hui à la médecine par plagiat du caducée d’Hermès.

Cliquez ci-dessous pour télécharger le document de l’OMS sur leur vision de la sexualité, voir page 38.

Document UNESCRO

De 0 à 4 ans, il est temps d’apprendre la « masturbation enfantine », de laisser l’enfant exprimer « ses besoins, ses désirs » – sexuels.
Il vaut mieux être bien assis avant d’ouvrir le rapport de la branche européenne de l’OMS intitulé « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe ».

En 2010, ce rapport est livré en anglais et en russe ; un an plus tard, le site Internet de l’OMS affirmait déjà que « plusieurs pays [avaient] traduit et mis en œuvre ces normes ».

On passe outre l’innocence des poupons et on démarre au berceau : de zéro à quatre ans, il est temps d’apprendre la « masturbation enfantine », de laisser l’enfant exprimer « ses besoins, ses désirs et ses limites » – sexuels, entendons-nous bien – en « jouant au docteur ».

Inutile de protester, l’OMS a anticipé la réaction des parents réacs qui refuseraient que quiconque « joue au docteur » avec leur nourrisson : « Ce programme se confrontera à une résistance fondée sur des peurs et des préjugés. »

Prière de ravaler vos préjugés et de laisser faire les pros. Forte de ses « spécialistes », l’OMS propose en effet « une information objective, scientifiquement correcte », quand les parents ne sont que « sources informelles ». Les États relais veilleront …

Najat Vallaud-Belkacem annonçait qu’elle envisageait de retirer une part fiscale aux familles dont un seul membre travaille. Difficile de ne pas y voir un moyen de séparer les enfants de ces « sources informelles », obstacles potentiels au bon endoctrinement… Mères de famille qui avez à cœur d’aider vos enfants à grandir : au travail, pendant que l’État s’occupe de vos enfants « scientifiquement ».

Reprenons. Ils ont quatre ans et, outre la masturbation, connaissent « les différentes sortes de relations familiales » et savent qu’ils peuvent « explorer les différentes identités sexuelles ».

Il est donc temps d’apprendre « l’égalité entre les sexes », les émotions liées à l’amour que sont « jalousie, colère, agressivité et déception », et enfin « l’amitié et l’amour envers les personnes de même sexe ».

Ayant fêté leurs six ans, bien conscients des « différentes normes en matière de sexualité », il est urgent de leur parler « éjaculation et menstruation » et « méthodes de contraception ». Oui, à six ans. Puis on enchaîne sur « les rôles socialement associés aux genres ».

Du coup, de neuf à douze, on explore le monde du Planning familial, des MST, des orientations sexuelles en insistant sur « l’influence des inégalités liées au genre » et du coup, la pression exercée par « le groupe, la culture, la religion, la loi ». Passé douze ans, il reste à parler d’avortement et de « grossesse dans les couples de même sexe ».

Les petits de quinze ans aborderont alors la PMA, la GPA, le don de sperme et la prostitution pour que l’éducation soit complète.

Alors, non seulement les rédacteurs souhaitent en faire « un cadre de référence » en Europe, mais en bons colonisateurs mondialistes rêvent de l’imposer « comme argumentaire pour un plaidoyer en faveur de l’introduction d’une éducation sexuelle holistique dans chaque pays ».

Il convient donc de rappeler l’histoire de David Reimer, l’un des premiers cobayes de ce genre d’éducation. Elevé comme une fille à la suite d’une circoncision ratée, il a subi toutes les étapes clés de ce rapport, avant d’apprendre la vérité et de « redevenir » un garçon.

À 38 ans, c’est le suicide qu’il a finalement « choisi ».”

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L’UNESCRO de son côté continue de s’imposer partout, en Cyrénie après la guerre contre Kadhafi, mais aussi au Maroc où l’organisation semble touché à tout et tenir une grande influence. 

L’UNESCO vient d’ajouter 20 nouveaux sites au Réseau mondial des réserves de biosphère. Parmi eux, un site marocain : la cédraie de l’Atlas, a annoncé le Conseil international de coordination du Programme de l’UNESCO sur l’Homme et la biosphère à l’issue d’une rencontre tenue ce week-end à Lima.
« Cette réserve de biosphère, qui se situe au centre du massif de l’Atlas, abrite le majestueux cèdre de l’Atlas et concentre près de 75% de la population mondiale de cet arbre », a indiqué l’instance onusienne, soulignant la richesse en écosystèmes de cette partie du massif de l’Atlas.
Depuis plusieurs années, le cèdre de l’Atlas est sous une alerte. En 2011, en effet, les associations tiraient la sonnette d’alarme quant à l’abattage clandestin de cet arbre. En 2013, l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) l’a introduit dans sa liste rouge des espèces en voie de disparition. L’année dernière, le Haut-Commissariat aux Eaux et forêts et les ONG tiraient la sonnette d’alarme quant à la menace que représente le réchauffement climatique pour le cèdre.

Bien sur nous savons très bien que le contrôle de notre patrimoine est une manière de créer des leviers dans nos pays et de pouvoir influencer la population local qui est très réfractaire à la propagande makhzenienne, les habitants savent pertinemment que la sécheresse n’a rien à voir avec la déforestation, c’est juste un prétexte pour accusé la population de braconnage, alors que pendant ce temps des mafias soutenu par le Makhzen pille ces forêts.

Nous appelons donc à dénoncer ces organisations onusiennes qui de toute façon n’apporte rien à nos régions et cible nos enfants dans un projet de perversion de la jeunesse par les femmes et l’éducation anglosaxonne. Disons le haut et fort, la forêt du Moyen-Atlas appartient à ses habitants atlantes (chleuhs) et jamais aux escrocs, que ce soit ceux de “boghaba” le Haut-Commissariat aux Eaux et forêts, ou l’ONU et ses sbires de l’UNESCRO.

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